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m hXPA --.^O; I ' ' "^1 -=mi •'-■ -f I l i I I S i? I - ' l'i\ Hl - '.: 1 aC>| - aseu I iQV£â| ' '^ ' I ^ ‘ I ; I [ B UTIOU I 1 xi'MI -£î Hj - '. .Ù^^i S . ^ I .• voà JI j SX^I • - •Æ l ':^:h.t ' tfîY 5|: ‘JrJu 8-Ki> i'L-èii i - •- - L&b 1 iki ! ;;V: A J E ; i ; a - --^q riij arT^njûXw»;^ r t a n â ^ l é J e u d i é t l e P U â d iïè lie . •i'i •.f'"^ J A U e*’i* r;# '« »aff'isp^ f J » fr "* •A ' c. V. ’V '-'.gi i) ■ 1 l'tli ' i'X; iul’M :i< lM v.-j t^:ii j ÙB'l'^qF :W- ïfûiÿB i q>'’'s' ■■ ‘■‘■■ t . 'v ■■ ' ; , nHi Vs. Mija.'.:->Ki »v.V ■ f c x n d » ^ f- ''^' ^-^fî^rî /.î'.-r.i-“î' , iîji.;.q •- , îj . j y^"v Y* « ' . ''.o'*.'AV:i'\? ô^> :u!>6Hi -îjîl : ■«iPBlseRJW 'V i -sxi^'c! j -i,a s i - Y J . Sv>t-yj n-\ Wii, — •--• - i . t.,»,,!»i.vi . i . . . • ,. . ,■t ■ ! i..^ *»“p V î'V ï jtiiàûL- >»«.'* " '.•« '■ .«•■ r -^f ,r^ '•^ »• lH '".:-'i Sd'C iujKŒ kïsacii.sîaB'a x » r s a i » i? x Q .» a t.. ------ - ^ËaKttéiit^ÂV'-v'jr laUmJ uUm B h u lttü m ^ recMi a Mÿwi»w t. IP « # iiiÉ i|iiiiM SttMt, fé Naeen^ i994 Nous ravions prévu, ç^Æ^dver- sair«s davaiant eac^ee^Fimpo^ tance dé l’incident Syvetpn à 'la Chambre, et en rendre responsa^ bles tous les républicains n appar tenant ■" ” ' " quelle tenant pas au Blec. Oh sait avec', quelle éhergîe et quelle sincérité nous âvons mâiïiél’^acte stup^dé,et inconcevable de,M.Sysctonjj,DpuS n’avohstmémq pps é§^yé de trou ver une ^use^ipur la dmense au coupeW e; nottsavona jugé sévèi^ ment, ; comme il convenait de le fairfii''dB8 procédés .violents que; BOUS peg’r e t to n & d'sutaat pi US Qu’ils étaient- employé» à l'égàrd d uo vieillard et èn oontradietion avec rnos principes. En cela, nous som mes en communauté d idées avec l’immense niajorité -des-républi- cains.iptogressistes, et'noua pou- VOUS 8jouter, d© la .ÇbftïBhro ôlle"* même. Dans notre langage, dans nos écrits conime cten»; nos-actes, . nous faisons preuve de sang-froid et de la courtoisie dont les radi caux-socialistes feraient bien, de s’inspirer eh. toute circonstance. Cela doit suffire pour édifier ceux qui sont de,bonne foi. Dans l’Oise, le jourpal de M. Bau-^ don, la RépvbUquéy A une f^on qui lui est propre,-d’écnre 1 his toire au détriment delà vérité dans le but, si c’était possible, de d i^ créditer les honnêtes gens . Le fai t, pour nos dépu^s, MM. Audigier, Duquesnel et Gaillard, d’avoir voté poutre réutorisation de poursuivre Syvetoii, démontre, difc.le confrère, qu’ils approuvent la politique •du coup de poing et les violences con tre le chef de l’armée ! _ A qui veut-on faire croire de pa reilles calembredaines? En vénté, la Répabliqw, en servant des his toires de ce genre, attribue à ses lecteurs une lorte dose de naïveté ! Comment peut-on formuler une telle accusation contre ces trois honorables députés^ qui, en s’as sociant à l’application des péna lités les plus sévères du règlement de la Cnambre contre Syveton, flétrissaient nettement son acte inqualifiable? Ils ont estimé, avec raison, comme nous, comme beau coup d’autres, que l’exclusion tem poraire était un châtiment suffi- Mnt, et que la Chambre ne devait pas exagérer l’importance de la faute commise. Peur les besoins de leur cause, s’il plaît à nos adversaires de pou^ ser l’amère plaisanterie jusquà transformer deux gifies en une tentative d’assassinat, c’est leur affaire. A quelque parti qu’ils ap- parttonnent, ceux qui ne sont pas brouillés avec le bon sens, n’en treront pas dans les vues de la République. Et pourquoi mettre, pour deux claques, tout l’appareil judiciaire’ en mouvement? Le texte sur lequel s’appuie le Parquet pour demander les poursuites permet d’appliquer des Mines dispropor tionnées avec l’acte du bouillMt député. C’ésl une raison pour la- (fl^Ueon «’t^paseaux, „ - . LjcaBoiaires, sans êxcusér, bien I entendu, l’in cu l^ , Ifcii. d’aiUqursi a a ^ é t é frampCii^i^ÿe peine dis-i ciplinairë süfflsdnïe. _ I II faut être aveugleiOU de naau-i vàise fqipoùr ne m » voir «e.uu^ tombe sous le plus élémeniaire bon sens. ' ' üii de nos çonfi^fes, le Journai^ de Clerrrionji,p.t à .ce sijjet qu’oq ferait miétfx de M iis expliquée dé ■ fs^bn a(khissible le vote de M Baudon, le approbateur de» precédésidp délation maçonnique.; eti^est ce que n é g l^ Ih Ré- rpublique dé VOùe; stmpte Oubli, sans doute, car éllé n’ëpi'ouvera aucune diffll(ÿà% d^dilleurs,. pour ‘reconnaître ,, : ;d^5»ç^ ayeo. là ftrand-Ortëht, bue Ta délation est? une excellente (^ose. ^odlcfois» let « iUxtriftrâirtf » eUiMè.’et téMi mtité Upfmdtni i», ueét K ili 'dàn» iUtté 'kéfair*, ’obHi <o«yoii?S,Ar, eommiru^Jma/*, ei «« W, atùtqat nàmk* ou •*» r*f*!othv de M dîrtiaùtde - ' .ps- «J—rr- .-■ - V - ' Cotis&Üdesliini^rêSi 1«9 ministres se sont Fêttnis‘ mardi iwa'1 Un,en conseiU-UElï»ée.^u»^«t«'‘- ‘?'^®"®®i de M; Emile ,lq n ^ , .-s , . , Mrar.’Rouyiër, ministre des. finances, et André, mtniftre la'i^errt, n’assistaientj ’**^^*tonM^^TOoêaorée‘à i'ewÔdiUon des etteiretcomnte». ;..., . O 'ej ^aemaa«aM»efciroei(isitpH^ !Ai«Mai.iXàt n it «nft;eDquète.-iJa> lettn : élini«BfcttoIt ■? crSHfitnte AerioUn fw^e dn jmfesHW'^'araatAe^ dégtfser ijâtoi^Minoiieé eoBtce péimd* et jal* - nf^æiMftiiîiiè-. crêtes <îont*1à‘^C8mnmni(awm •OTiat ae jlKÉtaCbh^ffftinfc.-': ^ fe^éMSédU ................ ... :,il' ÎIAaemtédëABitiiieUére ryùRappéi\^ ‘>^ ' y ’ r - APeihtliiâHi^iiiietiëiié’ , l’étâiirert d: k rectsoi dËittj:ti&vvsc£ites.nsmE.Alonite»,. êahbtiÉéye^i' SrwMtÛMiiBeatapùe:è,'nvleMr,i^^^ poansi^pi'seay-reioarperè toi tistoliu a -I "- 'où des francs-maçons honnête» blâment énergiquement des abo minables procédés de délation et démissionnent pour ne plus ap partenir à une-secte qui devient un instrument d’espionnage, M. ; Baudon, déjputé de l’Oise, par ses votes, approuve et encourage les Les scandales récents ont^uJé- gpümement sopleyer l’indignation; dè la ùhahibre et du pays, ^ faire; naître un s«ntiment de- profond; dégoût mêine chexdes ôtoçasrcfe et dés francs-maçons; qu’importe,, 14 Baudon, le député de l’Oisé, n’a pas hésité à se mettre du côfé des; délateurs pour les appuyer de ses' votes, de ses encouragements. Nos députés MM. Audigier, Du quesnel et Gaillard ont stigmatisé ces honteux procédés, et si la dé lation continue de sévir et de prospérer dans- ce département, les offlclers et les fonctionnaires n’oublieront pas qu’ils le doivent à M. Baudon. ■Voilà ce que la République de L’O ise a oublié de nous dire. L oup BERTROZ. {Set^icetéléoraphique spéeiat) Se.àpce 'du i.5 novembre iài)4 U séaflce est onverte à i heorès sons la présidëiàse de M. Brissôh. On réprend da discussion du tmdget da l’toaeurtiCB-puhllqué, M. OimiQan .rappelle Jet actfit;.âe..déla< Bon d ^ lM T O e , qui ont.été flétol. par le nsvs'J^aï tadlsimbré, Le ministié, avait léwmciew compiomi».. £ e b ri^ S d e ^ r a i^ U e - à l^OTatsar qu*U; /fisUduêstiOD 4io IwA^ot d8'l*in8tnictiOD.pii< nilaue et non dn budget de la guerre. M. Gféi|eàh. V ^éâtoaté^Il SSSnnî^Mtien ioàt'Ji .)OOt{pn..^u^!W!tt'én^ é.-T^.jé taitappeU bte toati jCé-ün’a n .a ,.Or,Qpvep «noBaenteâ:Oa.iâsoutBrajla B m "®iai^rnème%ieè pwowé. eveivmàftmçam.' . « ‘à n .a h .siÆ i a nommé plnsiénréiéséiine»'Italiens e étolDg^S. Lé pape à .Msnife eom.mhnlimé, .les noH )cette bcealS»', W paro a éib(h« MTOgide, catholiqne 4 priepDlea^'pour. lëbiéadft PEgl|aë^etdqlla;Erancé. A j^ , avoir exprimé set regreUdu coBs ,llit actuel,avec le. gonsernemenl tençais,; il s décUné toute tesponsM>ilUé;poqt lar-; rèt qui SBproduit dans la nomii|atiop .qé-, Ténues aux sièges actuçllémênt TaCants.eni '■TiaiMégeBieMiwpéiisaMtfté; selon lni,ap-i partient tout entière an gouTérnénient üirânçaii. Lépapé allait des vceuxpour;que cette litnation prenne fin. U n D i s s i d e n t d u ^ o c . Le* porteparole* attitré* du gotatrne- ment nous reproehtnt volonüer* aoee amertume d* ne point admirer'béatement M. Combe*. De fa it, noue ne l'admùvn* pa* du tout. Se* de***in* noue parai***nt déplorable* éf *e* faton* d’agir au moin* aue*i fàeheu*e*. Uai* nou* ne.tomme* point *eul* à pm ser de la eorte, et certain* mem bre* du BUte en dieent autant que nou*. Dernièrement, AT. Clémeneeau nUllait aete* vertement le préeident du ConeeU; aiqourd’bui vient le tour de M. Sigitmond LaeroUe, qui réeume avec une prédeUm mordante l’/iittoire du projet deloieurla eéparation de* Bgli*** et de l’Etat. Pen dant longtempe, it. Combe* déetarait ne vouloir rien faire} put* il eontentit à par ler; etàuite, il tira de *a poeh* im petit pt^ièr, dieantqu* efétait ton prqjét à lui, mai* un projet que pereonne ne elgnerait jamais, projet anonyme, confidentiel, quel que ehoee comme un projet verbal; erue- quement, toutefois, Paeeemplit un miracle, et de* signature* surgirent au bas du petit papier, devenu document officiel, taheU* que le* panégyriste* ordinaire* célébraient l’énergie,de li . Combe* et la spontanéité de ee* décision*. Cela surtout agace M i Sigié- ondiicédans^, ijet d’ancnné garrair^doiîtle nom a'éfé.. les r ^ n t s débats n’a été i ***M.«ri8Bdn. — Lemlnistèl;eda la fiBêtro nf àucnn membre du gouv^mëm^o o ^ eu la moindre respon^iütfrétoM jM ^ mination du lleutenantcolonel'Sprall au, poste qu’il occupe an.Patals-fttorton.-; Fcette reiponssfblHDé me revient-dout ep^ Grpsdean. — Cela nSemnêclie paei que le lieutenant-colonel .Samil ait eu sa? part dans Ips àétes dénonces - 'Briseon. — Le lieutenant-colonel Sar-; rail adonné régniièrement, comme com-, mandant d’une Ecole militaire, des note» aux-étèves.. Il ne s’ensmt nullement qui! 'ait commis des actes jlg d é i a w ^ ^ ^ ^ . ji;] J M. .GF08jcan detùmdef au minislte .oa l’instruction pnbliqtie quelle suite 11compte donner, en ce quiilB concerne, aux actes de délation -dont- s’est rendu coupable .M .' Banman,professeur. au lycée de Gap, con tre les ofMiers ètsOu^fficiers de cette gai- **'l?orateur donne lecture des notes adres sées au Grand-Orient par ce professeur. Plusieurs Interrupteurs reprochent l'orateur de traiter uao quesUoli qm na rien à voir avec le budget de 1mstrucüon, ^^î'ârosjean. l’ai le droit de deman der an ministre de l’instruçBpn pnbliqM ce qu’il compte faire contre lés P r o f i ^ t m qui se sont taits les-agents de délation dn ministre de la euerre. L’oratèur pdiirsiiit sa lecttiin. L’orateur parle de M. D eck^in^^-,j-i d’Académie à Poitiers, qui a, IM «B n, ^ le correspondant de M. Vadeearil et du Srand-Orient. ‘ M. Chanmié. — Pal dû prendre mes im formations.snx Paffipre Banman, ayant été . 1 prévenu à tempsî fois que rentopds I»rler de 0 |m I est re proché 4cet inapéctour d’asadéjnie. él W d ^ ,d lf'i^ y » t6 re f»M. ;ratfd,ttire»côj.carje8 paÿlli a i^ e n f P d i 1* la plus to n d e qffee- u a la CQh'sutqtion.'y. I BnWKe ia>élégatlto W W r ï ® db le-Wprésériter aSx iquMdpiien (^ye'p. ; M.BtiÙÎêTWjipronose an Sépqt dp leviT; ■’ f f î s y ï i K * S ‘' 5 f c * mfté.» y. jfaîaéance eitlqvéfi. , É iK T ioÉ tg m su m E s j caie d’b f ^ Àcrondlsssmsnt de Çh«.il-1 lon-surbSsIne'-Sdputln de l>allottag|a Chatilion-snr-Seine, 14 novembre.— LeI iCEuBndeilailottage, qui a eu lieu.diman- > che, a donné le résultat suivant : Inscrits : lî,î4 î — Votants : 10,H3 ““•■''*l?X i S î ^ ^ 8.7(»®LU: Montenot,cons.génér.pro- grossiste. .............. ., L347 Il s’agissait de remplacer, M. Petit, radi-.i ildé^é. DSPÊCflKi’OFFiGlELLES ttosPOioiieliM iuix event-Bqalea J- 'tréie gèeiWme du oénérat. if.®“rP,pnét|iie. I Le U novtobre, avant raurM6, uhdé llacbement de chasse,uré voî,9fi,t^^gW“" hmandé par lé lieutenant VodiëtskyjewKtiia ' une éxplOTàtîobdans le tadispo-; siBon * l’ennémî tons M lagedéEhouannistsan, 4 I kilomètre» a iPestde Bianiooponxa. ünepattouiileiapwiaise « > m p ^ ;^ ^ dragon» rapéontrée du** »#}oi; ’gna ver» le »dd-e»t do *“ly S t'p tto ïé ‘ton attaqueparde» feux, et amto avolrSivOyé une pMftie du œ ta-, I éhementpour tourner les Japonais, le lieu- < “S'yfes'.-.gi.Ti.'ia.igss W idem ent vers les retranchement» ocou- ^^DMx'i^jtogMes* japonrises de tète, mitrailléeapar nés salves de nos.chMseurs, rétrogradèrent, emportant leurs tués et; IM bwsséi : doux antre» comnagUies firent un. mouvèinont tommant-derrière le» colli- détaçhemont de <^towpn,j)r^tont oltfaf.jnért. uî ise.Piÿoro etmswto»«^£££^~ . ^.ècaïïd uàb '' veuleBiàmvsr# if a l »ouïJcLca«,U, lwu*4i*i>e*wi«e '«htnifMiÉllHI ta.’études,; 'nalfe: fiché '(al^fsJi he V'sMlisnt dpbosée à son succès; ^ Àriîl&m’, i taipeà getté n ,gfaht ■pas ■éloi^ié»' do^Pansv le. OftiHta- nîèr Vaa«»rd- 'v^it séuvtot lfe ;de ;lâ umaBcbès. . E t fi «6 m a u q u a it p iA au cours Ue'ÉMÏ^içoinéi«dés,«tesve^ri^- ^ dne^âlto» fu® Çiî#!* »* [ djpàj» » iqqi;éx®PÇàlble^ ^ tes 'fonctions tie conoiepge;; du Granâ-Grient. Amour, a b ^ riq jte B’ëchelon en écbeîoi», à quallié hauteur a’é ^ a l’heuïsœ geaâraT... Il devint le grafld;-mjri- tiede noÿe ariuée: quand U W- saifci’œercice, â; Rueü, son au*!- tion n’avait pas prévu de tettès déàSnéés. Tolte-est sa -fiehe,— et-naeuît qqe^é ç^ispkriioh. , . .- cal H. Grpejoaii fi »’e»|t rendu ,ÇQ— seur à la Façni Lie les déûions dont' q M. Debiori», to f e s - .médecine dé Ifile. I M.* Bepmale. — Le Grand Orient a le , droit de dénoncer les fonctionnaires réao- Bonnmres-pout les taire révoquer. ( l;s;îSt.W«i5Si.£S: basæ‘4eJf'7r'* m lliM ^de de ne iprendre de lU’aptto mûre hSirexion.. , 1 Ù C b a i ^ ayrit déridé, et je prisai» A Triïe^a ftep L’incident André-Syvoton De là RépwpUqttè Pritnçaise: M. Jblliot, jrigè d’instrUeUbn, atommis,; hier, le docteur ^tocquet pour oxammeri l’étatdn général A ^ré. ' - , ^ . to répression dee voies de fut eecamiMi; sur .nn. magbtant dans J%e»dçe dO i^ ; fonctions^, est plus o a m i» n » * * ^ L » ÿ n , vaut que iqs: coup» ont é]diWi?M®d« inaladie on n’ont occasipnné aucun equ*; bl0 sil n’en est résulté ni blessurra ni ma-; ladie; la peifto est celle que uotrt' wonsi indiquée i de doux à cinq anode Wrtsôn.; Dans le cas contraire. C'est lu tériusiOn.'te: délit devient un-crime: et la juidiction omm rectlonnriloJeriÿO àJla.cop*d;^W y . Oacomiffen4»;aèi loWi.jto^ttyÿj» la nomiàftfio© Œan : antie» légèrement Wessis, .^ M s i retira sur nos posiBon». ^ feu de i’artillérie a «M fa terraient le ■11 et le ri itovembre de notre g(téetde^| nart do ronnéioi n r toat lo Iront con^.' ~'iM traTaflT dffrotfôMdionionts - .. .. , ■■ jen ’al reçu aucun rapport slgi»l8hi;inti ^ « p gemamt aVec rsanenfl. ___ f. KriritprÀ'rt^ namme suivaatlS» du lâM<rie^^i| ; ^lamuitdu «su A novemlwMtotW»*! quille. ; U» géuérri u r i e r i t c ^ liimlèiui»r»é»;id»,JltoMwe^=#6F! h. ^ .ussltûtprMlecoÆSSaato^ J É tiiii fflfc I (VoirteaiM êtioils é tiS ^ ^ g e .) I. jufla - UIuAuniai dssiMtot»: . M,J»urèe vient de reCevrir dé ri pinion iMlraiwé' un «uàoi’flet.'i^ deviu>)i Â>en «AîssA . ‘ T\ikih« Érth -ftArnidrt* tour dé tfambetts, prétendait éttîflir ranprCWemmit'éatre la France et in^ne et réglér' amiablemtot é qi. d’Alsace-LoRsdne.' Les'journaux — mdemeiit, senwA M. faurès qu’il Vw Ils ontmad mb.ifaù»- m a r ^ d a n e s e s paroles bp,veJléitéÇ'de rapprochèment avec rAUemiOTe quojwn apuréciaBon sur la qu'eiBbu d'AlsaCe. £ a O itette de l’dllemagn* du Noid prbt^ contre lés mots de « violence cdiniaiols * dontbl. Jàiirès a qualifié Faerezion des pruvinces. Et l»mé(n»joamal traite < a’-o- pinion décevante » l’idee.d'im règlement amiable su sujet te cas inénies provinces. La aa**tt*ae VdM écrit non moins éner- I-eiquement qu’on fera bon aseueU 4 Fidte d’imrspprOchmnentauêiiiûi’qiwla'Fittacs eura rmMmeé A t l ’filasion a ^ ’ritea.un 1 droit sur l’Alsace-Lorrafaa. , . .. . -Voilà qui.est net, fil; Jaurès, griSé doses Iss-chMstd’na potet de-vM moto» bèsts- ment idyUtque.Si quelques naïfs «nt'im étieuB »oiifa8ttetoié!5»»to-P»r.l^^ mères intemationaSstos t e i l . Jaurès, la Javtès Ini-inéiMp-eit-Qàorohe en Tun In ; raison des extçM ^pnw oà I etoralii»».Jly a 4to„oas où, i I n’ep pàs, bete, mais oA süte tours tens l'àmeo, ^ e u dtsperuioalsémlsiitiostt**” ' liers qniponssonïlegiwpe.- Lte la Cteûnbrs à; sauvecbl. de psréilSr t o ^ n e ^ à la coiterieeeo dfan, panL t e ratiniaéiUcommw^l et te v e lc ^ ses vishmà dipici tteouL B aki^ vu COBiaUSR PB L’OlSg <80) 9 EMILE RICHEBOURQ DnpjaAm pabto la’B N N E M I Dné idée jaillit de son cerveau. — An fait^ jtoUrquoi pas? reprrt-il; a certains moments il faut avoir de l au dace. ' - ^ Il rejeta sa tête en amère par un mouvement brusque et marcha droit au cocher, qui »e ténàit debout près de son cheval, à la tête duquel il avait suspen du le sac de toile contenant sa pitance. A rencontre de ses confrères, qui ont généralement un large faciès et les fonos éOÙpS'bsées, ce ooeher avait une petite figui», longue et maigre, au teint bilieux, loo lèvres minces, le nez écrasé, et, dan» le regard, quelque chose qui tenait* la feteidu-renard et du loupr- Le vicomte -n’eut qu’à le- regardei pouroavofaà quelle espèce d individu il avait à faire. ' — Hé l’am i , lui to-il, n’e»t-oe pas vous, qui Jivoz-eOUduit ù ^ ^ a m o ha- miiétf dO noir, qui est entrée-a.» . LoteoKer' toisa’le VîéomtO'des pied». ■à-fa'tMoééVéponditr “ - ; I, ■-1 ÔnL'.é’-«f*;Û«»6 ààii s'.'.dia'W' — Je ne refuse jamais de gagner de l’argent, répondit le chafouin, doni les yeux pétillèrent. Qu’estce qu’il faiM que )e fasse pour ça? — Me rendre sans que tu perdes beau*, de temps, un petit service facile. — Jaspinez, bourgeois. — J ’ai besoin de parler 4 la dame. — La dame noire? Compris. . — Dis-moi d’abord où tu l’as prisé. A la gare JSaint-Lazare. } Kile venait du chemin de fer ? — Je ne crois pas. Mais il pourrait bien se faire qt’eUe ne demeure pas* Paris, car, en me prenant h l honte, eUs m’a dit que je. la ramènerai» an même endroit. i — C’est possible. Mais, pour le fao- ment, cela importe aonc que j’ai absolument besoin de causer avec elle. . — Vous me diriez ça, botirgeois. — Pour cela, il faut que, je monte dans sa tSiiture, , ., Facile; prenez votre place Uu- vance. Non; tu ne comprends pas. — Alors, c’est 1» fauteà m» jugeotte. Il faut que je monte dans sa voi ture, quand elle y sera, et malgré elle. . — Cette fois, on y est. _ San» attirer l’attentiondescnriqpà. — Naturellement. — Or, puur eel»,ilne faut pas que in. , chose ae fasse ici. -Ef^ depasmnte. - - _ Bya b i^ pat tei^ûnè piitt — VA pour la rue Dnret. Dm iC r au lieu de.suivre l’avenue jusqu’à la placé de l’Etoile,tu prendra» parla ruoDnréfc; — cSst là que j’uttendnû. Tu^mè verras et tu t’arrêteras à trois pM de moL — Ensuite? , . — Le reste me regarde. SeuleméuV dès que i’aurai santé dans-tà.voittee et refermé la portière, tu îcUetterSi» ton cheval pour qu’il parte aû teipPr :^ ; ,. — Afin qu’on ne pùi»»e,*®*®“ “ * cri», de la damie dank le to - ?b elle,,vou drait faire la méchante.. ' D écidém ent ta es'u n gàrÇPù fa*;, ielligent. , t — On.faU.cequ^^on.peut poiB OBcher; qu’on est bête. — Ainsi, ta as bien compris? Oui. Seulement.'., fit Je cocher, en se grattant derrière l’oreille. — Quoi? — J'aimeraisassesètrepayéd’ayànçe. — N’as-tu pas cofifiaude ém ... — Ohilaplus g^deeonfisjice;m^ dame, yoyes-vçu», on ne sait pas. ce qui peut arrivêr. :•■■■■ , prouTet.qaep. 4 ^ 8 » il te faut,tusai»préndrB.tq»^èdBBHon»i XienSr voilà le» vingt francs promis. Fondaùi’.ipte fa bocher je ^ rm a it la pièce d’or dans son porte-monnsde, le, vicomte te m’ètre utiisff îÀiiiiwK "ultif* -£[ t I Oru, mto. on ne, me ctfanelt .que lous ce nom-là. — Tu e» mérié? — Ëas SI bête! — Tu i^pàrtieii* à la compagnie des Petitès-Voitifie»?, r— Bon, je^availle pour mon,compta- -T- Alors, ce cheval et ,cette voiture sont Atoi? . ' — Apsuprè». — Donnéenèitanefdrène. .' — Voilà. . ' , Un de t o jbim je purs avoir ^ j, soin de toi. . . . j — Jésfüsà rue Dnret . , • - , Et le vicomte iS’éUêgna raptdemete... V in ^ minnte» apeè»,-la oomtorâe i»at.', congé de M et Mlfa Latrade bms; avoir : rien.-apprimconoernant' ie' marqujs-iie . Verveine. C e n d a n t lUle-Létifade lui ; avait d it et cela l’avait bèaùOonp suri prise, '-ri que lé faarqUÎs é'était absenté de PaM poùr.qùêl^e» jotoi,Eni|oiriii^ la jeùae, fiBe' éfaît parfeit*!pe“i comme un ï ^ t a ^ o m ^, :î _ : , ; Apite avoir éu soiutide : bais^. te l voile, te Bonjtoase ifraucMtfle.sêuikdé la porterie te'ôbur.etiinaroba teto la ture,..dout'llé' èocher-'S’étmti'empi^sé rifouvrir te: ''pbraère. 'Efié enjamba te BiaTùbépw^ é6'5fta*‘(feuï8‘ ùii cbift- Ji| Tout à eottp'eHo'sentitqUetil* voitto; i’arrêtaift '''8eS' jeu*'■s’owaûrent. Ep jnêmetemps-tec pflrtièr»i de ,«91»^™! teVcrté'rietefaWtoteWnhoinmeB élwça Sanzac. S ^ i e ; un cri rauque, étranglA Le vicoifae; avait d é^ w^rmé- la^ptotière?et Coll. bri avant ëfaglé les fltecs de son chevdl ■'dedeux vigoûeux ri>ùP*''<fa fouet l ’ani-1 tolriarW ventto S mno; ofaume s’il „ _. j n e , ' c^pUme sût »nbiteiont.^ 8 je.m ^l^êe^. Affislte dé’triâreœfi^îSSK^faim^e jeta aurte.TtoÈtiteeriB 'teeito e t essaya ,te:l’own* 89»; ..oUiiRÛûr : due dt^ B 0 -bwiydP*; iû d d il® Trowutd IfU ‘ Saisit, UOàéftop yttj' .“-ri: T?PfM mehVà.*tolyeer teu»;»to,»«im . — Il faut que je vous parle, lui di* “ ■ «H érokdre?J^ 4ii^araà qii^yôtis -â ajaj | «Y, ”^*dui, de votreji^ •savai» bien'mto.ee taOj n totoua^^» mHton te«to.*os b#te tibres,, Vote' vouhea ameiter les jfè m iim ÿ i “ * ' eîf A ndB»" iâà^qU^ ■ir^AW Icirè et racontar r PteriL Qu^ scam . tort, ou toison, de vun»/;.*j.s...... j oiierj d’svpeke «À wcoq?»? répète, vous; a’aveu me» ■ D ^ e n r s , qoM mât pmi»*ie tsm «MÇi Enfin, vous me co|mytoitt»,-' l^'^SSoure. i’éUdscitom ■et je causais aveolui quén».’’»»»'!. àrnv^ îe'^: jqiie voiri :■ bqur. Ëï jpqUftant Rÿ,» Ptg- ''que jè ne,TOU»aî,viwj etjvi^ UtoTtefalfa m f“"’ ry’ij do r -.J j J’ai questionné K. Latto4u,ltifc*ê'*. :«pii»o» -qne lO déiiristetouniRsyw»;; e t ’odmmé g/viiri». ■... : .^ 1 9 ,£>C6 ,Y^AW'.fa:■i«P^^lllJ complètataetete’ .ia^étmiteP^"

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Page 1: Cotis&Üdesliini^rêSi.ps- «J—rr- .- - V-'bmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_11_17_MRC.pdfSttM t, fé N aeen^ i994 Nous ravions prévu, ç^Æ^dver- sair«s davaiant eac^ee^Fim

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iu jK Œ k ïsac ii.s îaB 'a x » r s a i » i ? x Q .» a t . . ------ -

ËaKttéiit ÂV'-v'jr laUmJuUm B h u l t tü m ^ recMi a Mÿwi»w t.

I P « # i i i É i | i i i i M

S ttM t, f é N a e e n ^ i9 9 4

N ous ra v io n s p ré v u , ç^Æ ^dver- sa ir« s d a v a ia n t e a c ^ e e ^ F i m p o ^ ta n c e d é l’in c id e n t S yvetpn à 'la C ham bre , e t e n re n d re re sp o n sa ^ b les to u s le s ré p u b lic a in s n a p p a r­te n a n t ■" ” ' " quellete n a n t p a s a u B lec. Oh s a i t avec', q ue lle éh e rg îe e t q u e lle s in c é rité n o u s âv o n s m â iïié l’^acte stup^dé,e t inco n cev ab le de,M .Sysctonjj,D puS n ’avohstm ém q pps é § ^ y é d e tro u ­v e r u n e ^ u s e ^ i p u r la d m en se a ucoupeW e; n o t t s a v o n a ju g é s é v è i^ m e n t, ; c o m m e il c o n v e n a it de le fairfii''dB8 p ro céd és .violents que;BOUS peg’re tto n & d 'su taa t p i US Qu’ilsé taien t- em p loyé» à l 'ég à rd d u o v ie illa rd e t èn o o n trad ie tio n av ec

rn o s p rin c ip e s . E n ce la , n o u s som ­m es en co m m u n au té d idées avecl’im m ense n ia jo rité - d e s - ré p u b l i- c a in s .ip to g re ss is te s , e t 'n o u a p o u - VOUS 8jo u te r , d© la .ÇbftïBhro ôlle"* m êm e. D ans n o tre lan g ag e , d a n s n o s é c r its co n im e cten»; n o s-ac te s ,

. n o u s fa iso n s p reu v e d e sa n g -fro id e t d e la co u rto is ie d o n t le s ra d i­c a u x -so c ia lis te s fe ra ie n t b i e n , de s ’in s p ire r eh. to u te c irco n s ta n ce . Cela d o it su ffire p o u r éd if ie r c e u x q u i so n t de ,b o n n e foi.

D ans l ’O ise, le jo u rp a l d e M. Bau-^don, la R épvbU quéy A u n e f ^ o n q u i lu i e s t p ro p re ,-d ’é c n r e 1 h is ­to ire a u d é tr im e n t d e là vé rité d a n s le b u t, s i c ’é ta i t p o ss ib le , de d i ^ c ré d ite r le s h o n n ê te s g e n s . L e fai t, p o u r nos d é p u ^ s , MM. A ud ig ier, D uquesnel e t G ailla rd , d ’a v o ir voté pou tre ré u to r is a tio n d e p o u rsu iv re Syvetoii, d ém o n tre , difc.le co n frè re , qu’ils ap p ro u v e n t la p o litiq u e • d u coup d e p o in g e t le s v io lences con­tre le ch e f d e l’a rm ée ! _

A qu i v eu t-on fa ire c ro ire d e p a ­re illes c a le m b re d a in e s? E n v é n té , la R é p a b liq w , en se rv a n t d e s h is ­to ire s d e ce g en re , a ttr ib u e à se s le c te u rs u n e lo r te dose de naïve té !

C om m ent p e u t-o n fo rm u le r u n e te lle a ccu sa tio n co n tre ces tro is h o n o rab le s députés^ q u i, en s ’a s ­so c ia n t à l’app lica tio n d es p én a­lité s le s p lu s sév è res d u règ lem en t de la C nam bre co n tre Syveton, f lé tr is sa ien t n e tte m e n t son ac tein q ua lif iab le? I ls o n t es tim é , avecra iso n , com m e n o u s , com m e b eau ­coup d ’a u tre s , q u e l’ex c lu s io n tem ­p o ra ire é ta it u n c h â tim e n t suffi- M n t, e t q u e la C h am b re n e d ev a it p a s e x a g é re r l’im p o rtan ce d e la fau te com m ise .

P e u r les b e so in s d e le u r cau se , s ’il p la ît à n o s a d v e rsa ire s d e p o u ^ s e r l’am ère p la isa n te r ie ju s q u à tra n s fo rm e r d e u x g ifies e n u n e te n ta tiv e d ’a s s a s s in a t , c ’e s t le u r affaire . A q u e lq u e p a rti q u ’ils a p - p a rtto n n en t, c e u x q u i n e so n t p a s b ro u illé s avec le b o n se n s , n ’en ­tr e ro n t p a s d a n s le s v u es d e la R é p u b liq u e . E t p o u rq u o i m e ttre , p o u r d e u x c la q u e s , to u t l’ap p a re il jud ic ia ire ’ e n m ou v em en t? L e tex te s u r leq u e l s ’ap p u ie le P a rq u e t p o u r d e m a n d e r le s p o u rsu ite s p e rm e t d ’a p p liq u e r d e s M in e s d isp ro p o r­tio n n ées avec l’a c te d u b o u illM t d ép u té . C’é s l u n e ra iso n p o u r l a -

(fl^Ueon «’t^paseaux, „ - .LjcaBoiaires, sans êxcusér, bien I entendu, l’incul^, Ifcii. d’aiUqursi

a a ^ é té frampCii i ÿe peine dis-i ciplinairë süfflsdnïe. _

I II faut être aveugleiOU de naau-i vàise fqipoùr ne m» voir «e.uu^ tombe sous le plus élémeniaire bon sens. ' ’ '

üii de nos çonfi^fes, le Jo u rn a i^ d e C lerrrio n ji,p .t à .ce sijjet qu’oq ferait miétfx de Miis expliquée dé ■ fs^bn a(khissible le vote de M Baudon, le approbateur de» precédésidp délation maçonnique.;

eti^est ce que n ég l^ Ih R é - r p u b liq u e d é V O ùe; stmpte Oubli, sans doute, car éllé n’ëpi'ouvera aucune diffll(ÿà% d^dilleurs,. pour ‘reconnaître ,, : ;d^5»ç^ ayeo. là ftrand-Ortëht, bue Ta délation est? une excellente (^ose. ^odlcfois»

let « iU xtriftrâirtf » eU iM è.’et téMi mtité U pfm d tn i i » , ueétK ili 'dàn» iUtté 'kéfair*, ’obHi <o«yoii?S,Ar, eom m iru^Jm a/*, ei « « W ,

atùtqat nàmk* ou •*»

r*f*!othv d e M dîrtiaùtde - '

.ps- «J—rr- .-■ - V-'

Cotis&Üdesliini rêSi1«9 ministres se sont Fêttnis‘ mardi iwa'1

Un,en conseiU-UElï»ée.^u»^«t«'‘-‘?' ®"®®i de M; Emile , l q n ^ , .-s , . ,

Mrar.’Rouyiër, ministre des. finances, et André, mtniftre la 'i^errt, n’assistaientj

’**^^*tonM ^^TOoêaorée‘à i'ewÔdiUon des etteiretcomnte».

;..., . O 'e j ■^aemaa«aM»efciroei(isitpH^!Ai«Mai.iXàt n it «nft;eDquète.-iJa> lettn : élini«BfcttoIt ■? crSHfitnte AerioUn fw^e dn jm fe sH W '^ 'a ra a tA e ^ dégtfser

ijâ to i^ M in o iie é eoBtce péimd*et jal*

- nf æiMftiiîiiè-.crêtes <îont*1à‘C8mnmni(awm •OTiat ae jlKÉtaCbh^ffftinfc.-': ^

fe^éMSédU

................ ...

:,il' ÎIAaemtédëABitiiieUéreryùRappéi\^ ‘> ' y ’ ■

r - APeihtliiâHi^iiiietiëiié’, l’étâiirert d:k rectsoi dËittj:ti&vvsc£ites.nsmE.Alonite»,.

êahbtiÉéye^i'■ SrwMtÛMiiBeatapùe:è,'nvleMr,i^^^ poansi^pi'seay-reioarperè toi tistoliu

a -I " -

'où d e s fra n c s-m a ç o n s h o n n ê te» b lâ m e n t é n e rg iq u e m e n t d e s a b o ­m in a b le s p ro céd és d e d é la tio n e t d é m iss io n n e n t p o u r n e p lu s ap ­p a r te n ir à u n e -s e c te q u i d ev ien t u n in s tru m e n t d ’esp io n n ag e , M.

; B audon , déjputé d e l’O ise, p a r se s vo tes , ap p ro u v e e t en co u rag e le s

L es scan d a le s ré c e n ts o n t^ u J é - gpüm em en t so p le y e r l’in d ig n a tio n ; d è la ù h a h ib re e t d u pays, ^ faire; n a ître u n s« n tim en t d e - profond; d ég o û t m ê in e c h e x d e s ôtoçasrcfe e t d é s f ra n c s -m a ç o n s ; qu ’im porte ,, 14 B audon , le d ép u té d e l’O isé, n ’a p a s h é s ité à se m e ttre d u côfé des; d é la te u rs p o u r le s ap p u y e r de ses ' vo tes , de se s e n co u rag em en ts .

N os d é p u té s MM. A u d ig ie r, D u­q u e sn e l e t G a illa rd o n t s tig m a tisé ces h o n te u x p ro céd és , e t s i la dé­la tio n co n tin u e d e sé v ir e t de p ro s p é re r d an s- ce d é p a rte m e n t, le s o fflclers e t les fo n c tio n n a ire s n ’o u b lie ro n t p a s q u ’ils le do iv en t à M. B audon .

■Voilà ce q u e la R ép u b liq u e de L’Oise a oub lié de n o u s d ire .

L oup B ER T R O Z .

{Set^icetéléoraphique spéeiat)

Se.àpce 'du i.5 novembre ià i)4

U séaflce est onverte à i heorès sons la présidëiàse de M. Brissôh.

On réprend da discussion du tmdget da l’toaeurtiCB-puhllqué,

M. OimiQan .rappelle Je t actfit;.âe..déla< Bon d ^ lM T O e , qui ont.été flétol. par le n sv s 'J^a ï tadlsimbré, Le ministié, avait

léwmciew compiomi»..£e b ri^S de^ra i^U e-à l^OTatsar qu*U;

/fisUduêstiOD 4io IwA^ot d8'l*in8tnictiOD.pii< nilaue et non dn budget de la guerre.

M. Gféi|eàh. V

^ é â to a té ^ I l SSSnnî^Mtien

ioàt'Ji.)OOt{pn..^u^!W!tt'én^

é.-T^.jé taitappeUbte toati

jCé-ün’an .a,.Or,Qpvep

«noBaenteâ:Oa.iâsoutBrajla Bm

"® iai^rnèm e% ieè p w o w é .

eveivmàftmçam.'

. « ‘à s æ n . a h . s i Æ ia nommé plnsiénréiéséiine»'Italiens e étolDg^S.

Lé pape à .Msnife eom.mhnlimé, .les noH

) cette bcealS»', W paro a é ib (h « MTOgide,catholiqne 4 priepDlea^'pour. lëbiéadft PEgl|aë^etdqlla;Erancé. ■

A j ^ , avoir exprimé set regreUdu coBs ,llit actuel,avec le. gonsernemenl tençais,; il s décUné toute tesponsM>ilUé;poqt lar-; rèt qui SB produit dans la nomii|atiop .qé-, Ténues aux sièges actuçllémênt TaCants.eni

'■TiaiMégeBieMiwpéiisaMtfté; selon lni,ap-i partient tout entière an gouTérnénient

üirânçaii. Lépapé allait des vceuxpour;que cette litnation prenne fin.

U n D i s s i d e n t d u ^ o c .Le* porteparole* attitré* du gotatrne-

ment nous reproehtnt volonüer* aoee amertume d* ne point admirer'béatement M. Combe*. De fa it, noue ne l'admùvn* pa* du tout. Se* de***in* noue parai***nt déplorable* éf *e* faton* d’agir au moin* aue*i fàeheu*e*. Uai* nou* ne. tomme* point *eul* à pm ser de la eorte, et certain* mem­bre* du BUte en dieent autant que nou*. Dernièrement, AT. Clémeneeau nUllait aete* vertement le préeident du ConeeU; aiqourd’bui vient le tour de M. Sigitmond LaeroUe, qui réeume avec une prédeUm mordante l’/iittoire du projet delo ieurla eéparation de* Bgli*** et de l’Etat. Pen­dant longtempe, i t . Combe* déetarait ne vouloir rien fa ire} put* il eontentit à par­ler; etàuite, il tira de *a poeh* im petit pt^ièr, dieantqu* efétait ton prqjét à lui, mai* un projet que pereonne ne elgnerait jamais, projet anonyme, confidentiel, quel­que ehoee comme un projet verbal; erue- quement, toutefois, Paeeemplit un miracle, et de* signature* surgirent au bas du petit papier, devenu document officiel, taheU* que le* panégyriste* ordinaire* célébraient l’énergie,de l i . Combe* et la spontanéité de ee* décision*. Cela surtout agace Mi Sigié-

ondiicédans^, ijet d’ancnné

garrair^doiîtle nom a'éfé.. les r ^ n t s débats n’a été i***M.«ri8Bdn. — Lemlnistèl;eda la fiBêtro n f àucnn membre du gouv^m ëm ^o o ^eu la moindre re sp o n ^ iü tfré to M jM ^mination du lleutenantcolonel'Sprall au, poste qu’il occupe an.Patals-fttorton.-; Fcette reiponssfblHDé me revient-dout ep^

Grpsdean. — Cela nSemnêclie paei que le lieutenant-colonel .Samil ait eu sa? part dans Ips àétes dénonces -

'Briseon. — Le lieutenant-colonel Sar-; rail adonné régniièrement, comme com-, mandant d’une Ecole militaire, des note» aux-étèves.. Il ne s’ensmt nullement qui! 'ait commis des actes jlg d é i a w ^ ^ ^ ^ . ji;]J M. .GF08jcan detùmdef au minislte .oa l’instruction pnbliqtie quelle suite 11 compte donner, en ce quiilB concerne, aux actes de délation -dont- s’est rendu coupable .M.' Banman,professeur. au lycée de Gap, con­tre les ofMiers ètsOu^fficiers de cette gai-

**'l?orateur donne lecture des notes adres­sées au Grand-Orient par ce professeur.

Plusieurs Interrupteurs reprochent l'orateur de traiter uao quesUoli qm na rien à voir avec le budget de 1 mstrucüon,^^î'â rosjean . l ’ai le droit de deman­der an ministre de l’instruçBpn pnbliqM ce qu’il compte faire contre lés P ro f i^ tm qui se sont taits les-agents de délation dn ministre de la euerre.

L’oratèur pdiirsiiit sa lecttiin.L’orateur parle de M. D e c k ^ in ^ ^ - ,j- i

d’Académie à Poitiers, qui a, IM «B n, ^ le correspondant de M. Vadeearil et du Srand-Orient. ‘

M. Chanmié. — Pal dû prendre mes im formations.snx Paffipre Banman, ayant été . 1 prévenu à tempsîfois que rentopds I»rler de 0 |m I est re­proché 4cet inapéctour d’asadéjnie.

él

W d ^ , d l f ' i ^ y » t 6 r e f»M .

;ratfd,ttire»côj.carje8paÿlli a i^en f P d i 1* la plus to n d e qffee-

uala CQh'sutqtion.'y. I BnWKe ia>élégatlto

W W r ï ® db le-Wprésériter aSxiquMdpiien (^ye'p. ;

M.BtiÙÎêTWjipronose an Sépqt dp leviT;

■’ f f î s y ï i K * S ‘ ' 5f c *mfté.» y.jfaîaéance eitlqvéfi. ,

É i K T i o É t g m s u m E s j

caie d’b f ^ Àcrondlsssmsnt de Çh«.il-1lon-surbSsIne'-Sdputln de l>allottag|aChatilion-snr-Seine, 14 novembre.— LeI

iCEuBndeilailottage, qui a eu lieu.diman- > che, a donné le résultat suivant :

Inscrits : lî ,î4 î — Votants : 10,H3

“ “ • ■ ' ' * l ? X i S î ^ ^ 8.7(»®LU: Montenot,cons.génér.pro-

grossiste. .............. . , L347Il s’agissait de remplacer, M. Petit, radi-.i i ld é ^ é .

DSPÊCflKi’OFFiGlELLESttosPOioiieliM iuix event-Bqalea J- 'tréie

gèeiWme du oénérat. if.®“rP,pnét|iie.I Le U novtobre, avant raurM6, uhdéllacbement de chasse,uré voî,9fi,t^^gW“" hmandé par lé lieutenant VodiëtskyjewKtiia ' une éxplOTàtîobdans le tadispo-;

siBon * l’ennémî tons M lagedéEhouannistsan, 4 I kilomètre» a iPestde Bianiooponxa.

ünepattouiileiapwiaise « > m p ^ ; ^ ^dragon» rapéontrée du** »#}oi;’gna ver» le »dd-e»t do

*“ly S t 'p t t o ï é ‘ton attaqueparde» feux, et am to avolrSivOyé une pMftie du œ ta -,

I éhementpour tourner les Japonais, le lieu- <“ S ' y f e s ' . - . g i . T i . ' i a . i g s s

W idem ent vers les retranchement» ocou-^^DM x'i^jtogM es* japonrises de tète, mitrailléeapar nés salves de nos.chMseurs, rétrogradèrent, emportant leurs tués et; IM bwsséi : doux antre» comnagUies firent un. mouvèinont tommant-derrière le» colli-

détaçhemont de < ^ to w p n ,j)r^ to n t oltfaf.jnért. uî

ise .P iÿ o ro e t m s w to » « ^ £ £ £ ^ ~ . ^.ècaïïd u à b

'' v e u le B ià m v sr#

if a l »ouïJcLca«,U, lwu*4i*i>e*wi«e '«htnifMiÉllHI

ta.’études,; 'nalfe: fiché '(a l^ fsJi h e V'sMlisnt dpbosée à son succès; Àriîl&m’,i taipeà getté n ,gfaht■pas ■éloi ié»' do^Pansv le. OftiHta- n îè r V a a « » rd - ' v ^ i t séuvtot

l f e ;de ;lâum aB cbès. .

E t fi « 6 m a u q u a i t p i A a u c o u r s U e 'É M Ï^ iç o in é i« d é s ,« te s v e ^ r i^ - dne^âlto» fu® Ç iî# !* »*

[ d jp à j» » iqqi;éx®PÇàlble^ ^tes 'fonctions tie conoiepge;; du Granâ-Grient. Amour, ab^riqjte

B’ëche lon e n écbeîoi», à quallié h a u te u r a ’é ^ a l’h e u ï s œ g eaâ raT ... I l d ev in t le grafld;-m jri- t i e d e n o ÿ e a r iu é e : q u a n d U W - saifci’œ e rc ic e , â; R u e ü , so n a u * ! - t io n n ’a v a it p a s p ré v u d e te ttè s déàS néés.

Tolte-est s a -fiehe,— et-n aeu ît q q e ^ é ç ^ isp k riio h . , . .-

cal

H. Grpejoaii fi »’e»|t rendu ,ÇQ— seur à la Façni

Lie les déûions dont' q M. Debiori», to fe s- .médecine dé Ifile. I

M.* Bepmale. — Le Grand Orient a le , droit de dénoncer les fonctionnaires réao- Bonnmres-pout les taire révoquer. (

pÆl;s;îSt.W«i5Si.£S:basæ‘4eJf'7r'*m lliM ^ d e de ne iprendre de

lU’aptto mûre hSirexion.. ,1 Ù C b a i ^ ayrit déridé, et je prisai»

A Triïe a ftepL’incident André-Syvoton

De là RépwpUqttè Pritnçaise:M. Jblliot, jrigè d’instrUeUbn, atommis,;

hier, le docteur tocquet pour oxammeri l’étatdn général A ^ré . ' - , ^. to répression dee voies de fu t eecamiMi;

sur .nn. magbtant dans J%e»dçe dO i ^ ; fonctions^, est plus oam i» n » * * ^L » ÿ n , vaut que iqs: coup» ont é]diWi?M®d« inaladie on n’ont occasipnné aucun equ*; bl0 ’

s il n’en est résulté ni blessurra ni ma-; ladie; la peifto est celle que uotrt' wonsi indiquée i de doux à cinq anode Wrtsôn.; Dans le cas contraire. C'est lu tériusiOn.'te: délit devient un-crime: e t la juidiction ommrectlonnriloJeriÿO àJ la .co p * d ;^W y .

Oacomiffen4»;aèi loWi.jto^ttyÿj» la nomiàftfio© Œan :

antie» légèrement Wessis, .^ M s i retira sur nos posiBon».

^ feu de i’artillérie a «M fa terraient le ■11 et le r i itovembre de notre g ( té e td e ^ | nart do ronnéioi n r toat lo Iront con^.'

~'iM traTaflT dffrotfôMdionionts - ■ .. .. ,■■ je n ’al reçu aucun rapport slgi»l8hi;inti ^ « p gemamt aVec rsanenfl. ___ f.

KriritprÀ'rt^

nam m e su iv aa tlS » du lâ M < rie ^ ^ i| ; la m u itd u « s u A novemlwMtotW»*! quille. ’; U» géuérri u r i e r i t c ^

liim lèiui»r»é»;id»,JltoM we^=#6F! h. ^.u s s l tû t p r M l e c o Æ S S a a t o ^ J

É tiiii fflfcI (V oirtea iM êtio ils é t iS ^ ^ g e .)

I. jufla- UIuAuniai dssiMtot»:

. M,J»urèe vient de reCevrir dé ri pinion iM lraiwé' un «uàoi’fle t.'i^ deviu>)i Â>en«AîssA. ‘ T\ikih« Érth -ftArnidrt*

tour dé tfambetts, prétendait éttîflir ranprCWemmit'éatre la France et in ^ n e et réglér' amiablemtot é qi. d’Alsace-LoRsdne.' Les'journaux —

mdemeiit, senw A M. faurès qu’il V w Ils ontmad mb.ifaù»-m a r^ d a n e s e s paroles bp,veJléitéÇ'de rapprochèment avec rAUemiOTe quojwn apuréciaBon sur la qu'eiBbu d'AlsaCe. £ a O itette de l’dllemagn* du Noid p r b t ^ contre lés mots de « violence cdiniaiols * dontbl. Jàiirès a qualifié Faerezion des pruvinces. Et l»mé(n»joamal traite < a’-o- pinion décevante » l’idee.d'im règlement amiable su sujet te cas inénies provinces. La aa**tt*ae VdM écrit non moins éner-

I -eiquement qu’on fera bon aseueU 4 Fidte d’imrspprOchmnentauêiiiûi’qiwla'Fittacs eura rmMmeé A t l ’filasion a ^ ’r ite a .u n

1 droit sur l’Alsace-Lorrafaa. , . .. .-Voilà qui.est net, fil; Jaurès, griSé doses

Iss-chMstd’na potet de-vM moto» bèsts- ment idyUtque.Si quelques naïfs «nt'im étieuB » o iifa8 tte to ié !5»» to -P » r.l^^ mères intemationaSstos t e i l . Jaurès, la

Javtès Ini-inéiMp-eit-Qàorohe en Tun In ; raison des ex tçM ^p n w oàI etoralii»».Jly a 4to„oas où, i I n’e p pàs, bete , mais oA süte

tours tens l'àm eo,

e u dtsperuioalsémlsiitiostt**” ' liers qniponssonïlegiw pe.-

L te la Cteûnbrs à; sauvecbl.d e psréilSr t o ^ n e ^à la coiterieeeo dfan, panL t e ratiniaéiUcommw^l

et t e v e l c ^ ses vishmàdipici

tteouL

B a k i ^ vu COBiaUSR PB L ’O lSg <80)

9

EM ILE R IC H E B O U R Q

DnpjaAm p a b to

l a ’ B N N E M I

Dné idée jaillit de son cerveau.— An fait^ jtoUrquoi pas? reprrt-il; a

certains moments il faut avoir de l au­dace. ' - ^

Il rejeta sa tête en am ère par un mouvement brusque et marcha droit au cocher, qui »e ténàit debout près de son cheval, à la tête duquel il avait suspen­du le sac de toile contenant sa pitance.

A rencontre de ses confrères, qui ont généralem ent un large faciès et les fonos éOÙpS'bsées, ce ooeher avait une petite figui», longue et maigre, au te in t bilieux, loo lèvres minces, le nez écrasé, et, dan» le regard, quelque chose qui tenait* la feteidu-renard e t du loupr-

Le vicomte -n’eut qu’à le- regardei pouroavofaà quelle espèce d individuil avait à faire. '

— Hé l ’am i , lu i to-il, n’e»t-oe pasvous, q u i Jivoz-eOUduit ù ^ ^ a m o ha-miiétf dO noir, qui est entrée-a.» .

LoteoKer' toisa’le VîéomtO'des pied».■à-fa'tMoééVéponditr “ - ;I, ■ -1 ÔnL'.é’-«f*;Û«»6

ààii s'.'.dia'W'

— Je ne refuse jamais de gagner de l’argent, répondit le chafouin, doni les yeux pétillèrent. Qu’estce qu’il faiM que )e fasse pour ça?

— Me rendre sans que tu perdes beau*, de temps, un petit service facile.

— Jaspinez, bourgeois.— J ’ai besoin de parler 4 la dame.— La dame noire? Compris. .— Dis-moi d’abord où tu l’as prisé. A la gare JSaint-Lazare. } Kile venait du chemin de fer ?— Je ne crois pas. Mais il pourrait

bien se faire q t’eUe ne demeure pa s* Paris, car, en me prenant h l honte, eUs m’a dit que je. la ramènerai» an mêmeendroit. • i

— C’est possible. Mais, pour le fao- ment, cela importe aonc que j’ai absolument besoin de causeravec elle. .

— Vous me diriez ça, botirgeois.— Pour cela, il faut que, je monte

dans sa tSiiture, , ., Facile; prenez votre place Uu-

vance. Non; tu ne comprends pas.— Alors, c’est 1» fauteà m» jugeotte. Il faut que je monte dans sa voi­

ture, quand elle y sera, et malgré elle.. — Cette fois, on y est.

_ San» attirer l’attentiondescnriqpà.— Naturellement.— Or, puur eel»,ilne faut pas que in . ,

chose ae fasse ici.-E f^ depasmnte. - ■ -

_ B y a b i ^ p a t tei^ûnè piitt

— VA pour la rue Dnret. D m i C r au lieu de.suivre l ’avenue jusqu’à la placé de l’Etoile,tu prendra» parla ruoDnréfc;

— c S s t là que j ’uttendnû. Tu^mè verras et tu t ’arrêteras à trois pM de moL

— Ensuite? „ , .— Le reste me regarde. SeuleméuV

dès que i ’aurai santé dans-tà.voittee et refermé la portière, tu îcUetterSi» ton che val pour qu’il parte aû teipPr :^ ; , .

— Afin qu’on ne pùi»»e,*®*®““ * cri», de la damie dank le to - ?b elle,,vou­drait faire la méchante.. '

— D é c i d é m e n t t a e s ' u n gàrÇPù f a * ; , ielligent. , t— On.faU.cequ^^on.peut poiB OBcher; qu’on est bête.

— Ainsi, ta as bien compris? ■ Oui. Seulement.'., fit Je cocher, en

se grattant derrière l ’oreille.— Quoi?— J'aimeraisassesètrepayéd’ayànçe.— N’as-tu pas cofifiaude ém ...— O hilaplus g ^ d e e o n fis jic e ;m ^

dame, yoyes-vçu», on ne sait pas. ce qui peut arrivêr. :•■■■■

, prouTet.qaep. 4 ^ 8 »il te faut,tusai»préndrB.tq»^èdBBHon»i XienSr voilà le» vingt francs promis.

Fondaùi’.ipte fa bocher je ^ rm a i t la pièce d’or dans son porte-monnsde, le, vicomte

tem’ètre u tiis ff

îÀ iiiiw K "ultif*

- £ [

t I

Oru, mto. on ne, me ctfanelt .quelous ce nom-là.

— Tu e» mérié?— Ëas SI bête!— Tu i^pàrtieii* à la compagnie des

Petitès-Voitifie»?,r— Bon, je^availle pour mon,compta- -T- Alors, ce cheval e t , cette voiture

sont A toi? . '— Apsuprè».— Donnéenèitanefdrène.

.' — Voilà. ■ . ' ,Un de t o jbim je purs avoir ^ j,

soin de toi. . . . j— J é s f ü s à

rue Dnret . , • -, E t le vicomte iS’éUêgna raptdemete...

V in^ minnte» apeè»,-la oomtorâe i»at.',congé de M et Mlfa Latrade bms; avoir : rien.-apprimconoernant' ie ' marqujs-iie . Verveine. C e n d a n t lUle-Létifade lui ; avait d it et cela l’avait bèaùOonp suri prise, '-ri que lé faarqUÎs é'était absenté de PaM poùr.qùêl^e» jotoi,Eni|oiriii^la jeùae, fiBe' éfaît parfeit*!pe“i

comme un ï ^ t a ^ o m ^ , : î _ : , ;Apite avoir éu soiutide : bais^ . t e l

voile, te Bonjtoase ifraucMtfle.sêuikdé laporterie te'ôbur.etiinaroba te to la ture,..dout'llé' èocher-'S’étmti'empi^sé rifouvrir te: ''pbraère. 'Efié enjamba te BiaTùbépw^ é6'5fta*‘(feuï8‘ ùii cbift- J i |

Tout à eottp'eHo'sentitqUetil* voitto; i’arrêtaift '''8eS' jeu*'■s’owaûrent. Ep jnêmetemps-tec pflrtièr»i de ,«91» ^ ™ ! teVcrté'rietefaWtoteWnhoinmeB élwça

Sanzac. S ^ ie ;un cri rauque, étranglA Le vicoifae; avait d é^ w^rmé- la^ptotière?et Coll. bri avant ëfaglé les fltecs de son chevdl ■'de deux vigoûeux ri>ùP*''<fa fouet l’ani-1 to lr ia rW ventto S mno; ofaume s’il „ _ . jn e , ' c^pUmesût » n b ite io n t.^ 8j e . m ^ l ^ ê e ^ .

Affislte d é ’triâreœ fi^ îSS K ^faim ^ejeta aurte.TtoÈtiteeriB 'teeito e t essaya,te:l’ow n* 89»;..oUiiRÛûr

: due dt^ B0 - bwiydP*; iû d d il® Trowutd IfU‘ Saisit,

UOàéftop yttj' .“-ri: T?PfMm ehV à.*tolyeer teu » ;» to ,» « im .

— Il faut que je vous parle, lui di* “ ■

« H

é r o k d r e ? J ^4ii^araà qii^yôtis -â ajaj |

« Y ,

”^ * d u i , de v o t r e j i^•savai» bien'mto.ee taOj n t o t o u a ^ ^ »m Hton te«to.*os b#tetibres,, Vote' vouhea am eiter les

j f è m i i m ÿ i “ * —

' eîf A ndB»"iâà^qU^ ■ ir^A WIcirè et racontar r PteriL Qu^ scam .tort, ou toison, de vun»/;.*j.s...... joiierj d’svpeke «À wcoq?»? répète, vous; a’aveu me» ■D ^ en rs, qoM mât pmi»*ie tsm «MÇi Enfin, vous me co|mytoitt»,-'

l^ '^ S S o u r e . i ’é U d sc ito m■et je causais aveolui quén».’’»»»'!. à r n v ^ î e ' ^ :

jqiie voiri: ■ bqur. Ëï jpqUftant Rÿ,» Ptg- ''que jè ne,TOU»aî,viwj e t jv i^ UtoTtefalfa m f“"’ry’ij do r ‘ -.J j

J’ai questionné K. Latto4u,ltifc*ê'*. :«pii»o» -qne lO déiiristetouniRsyw»;;

e t ’odmmé g/viiri». ■...

: .^19 ,£>C6,Y^AW'.fa:■i«P^^lllJ complètataetete’

.ia^étmiteP^"

Page 2: Cotis&Üdesliini^rêSi.ps- «J—rr- .- - V-'bmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_11_17_MRC.pdfSttM t, fé N aeen^ i994 Nous ravions prévu, ç^Æ^dver- sair«s davaiant eac^ee^Fim

'‘î-v 'ÿ!' ?'^'î:" ‘5 :■■ ' ïT

B m ^ r ^ v ^ : s : o m i o

m tss iss i

flçymiierd

réfet;;^, Sttbiér" iorales

'Lêè atrU iaitt du géuénil André wU adopté et cri dé ràtUémeni: < A ta* la es- to ttct » SltMEFéflNk W '*p t u ê c t f f ê ' tWjlir~fff*ir oü -m ^ faecceurdt'ehMrifé.

O nditquoee fu ta ïuci te cri du général ^À aM M jm ém e lo rv n e M Syveton le car ■WtK:'-----

et(fane ■onree sn o »MOUS apprenons

coniidéraUM ^ ^ ------------------------ .lÎS - ?

à liâê r^iÂâncëïdMoloa. Son ministae d. ta GuairajaB ndm o At «p itt» son npste. |l n\Mil«a>d lanonear à «09 portafeujfflte m e n in&dn ’ietape .qM ses antem as et

qiie lonqna 11.- Gun B dné a ifM rd ite^ «as fi»elinn&

Oirs’eacpliiiitejMs l«rs;ln !

. crnsisièr lia-«onBeil- .<»S'''iÉiniâlra8, maii qni'eOBrââitltttÿ poiirt paridtr& '

Calto-aitnatiQn .ne p m di^nnaant-p.as se proloi^er. Il.tod in oien que M.- Corn;

■Kas. rénonee k * débarquer » le ^ n é ra l on qne f» «toftpar André eëde Un^

objam tians dioatll se prétendmctime. En attonSHÎ^. tt ïui bien reeMP* tira q û lo u s 1Mi ont^jàM.iwQaiia tssez seneuftes de couôhéesùrleurs ndsiUoM. •.

Le génem-iéBdrén’a pas tori de sonto-r nbrqu'Ûà) eui-soUime, o p lnp ^nne va ip - r ^ , <d«u VadeiBard, qu’A: a élécouyart, an iwnlus,. par M. Combes lui» même, et'que, après t o ^ M. le Présidmt du Conseil n’ayait jamais Amté- dèU rela tions dn> naiBintére;de la Guerre auec la Fo<iréMte,-géûdral Idu Grand-Oxient de Exauce,. ■ "*

31.'Combes, a iaison, de son Cbté, de cnindrà que-' -la {aiU» msjàà’ité de qua^s voix qui^a!e8t;pron0ncée, sur.son insis^ tenos, en f a y ^ du p-énéral A iiW , dans i’aflbiié 'Vaïécird, ne sa .'transforme en minoritéla%'Ur proêbainbù'yîeni^nten diseumièà'leà’intérpietlationB svr l u n iraerpeuabo -Ctf^net etiêubesi vmlàpourqaoi i l per­siste étfecmmpnndw é son çoU abo^ur le procédé dii suicidé .yolôptàire' qui ,ù i^ r»it épargner an .cabinét'-'iwit ’ entiep le désàgMmiBniA’ètre renversé.

. . Udêa choses-en sont lè e t .eU» en res- termit là'jusqii^aoi jour ■ où M. le général

■ André aura cons-nli à jouét'le rô'e de ' guillotiné par parsuwion. Mais, nous je -répétons, ü s’y refuse ayeo l’énergie dudésaspeir.

(La Itépubligm Frcm ça^.)

Quelques Écceurés.Oiyets joumanx <mt publié,récmnment,

la lettre'de démission adressée au'Grand- Orient par le F.*.-i8ab».llB, propriétaire à Rouen, membre deia Chambre de .cassa­tion du Granir-Orient.

On a à nmor une autre démission im­portante, celle du F.-. Bidon. .

Le F.-. Bidoû j[Léon-Auguste ■ Ciimenl), officier de tïnstniction publique, 33* hon­neur, ancien membre du Conseil de l’or­dre, fiait partie du Suprême Conseil du Granl-Onent'deTranee. Il est ingénieur des arts et manufactures, maire, conseil­ler du Commerce extérieur, délégué can­tonal à Lecy, par Cons-la-GraUville (Menrthe-et-Moselle);

Cette grotte légume de la Franc Maçon­nerie ne vent pas qu’on Is soupçonne d’approuyer l’oauyre de délation entre­prise par le Grand-Orient. Ce dégoût est rare tmez ses pareibi, — et l’honore.

M. Il 'dém ii s a plai S a n s dou te .

P e t i t e annonceOa lit dans i’intrans’geant : a T rit pretté. — On demande des mou

ehardt, catteroUt, eepUmt, délaUùrt, ju -dot en tom genres, ehe* la T .\ C.-. F.-.,. ' eongréganiela, 16, rue Cpdet, Paris (S^J.

< Fortune et aoaneement rapides astu~ Tés. » -

XA TAXE VICIITALEIl est bon-d’étre -renseigné sur la taxe

vicinale, qui remplace les prestations dans certaines' commîmes, et notamment de sa-: Voir si le propriétaire a le droit dé se faire

' nimboiirser par son fennier.La loi de 4 83$ décide. que là prestation

est due par l’homme êt par cèloi qui pos­sède des cheyanx et yéitnres,

•La loi de 4 903 n ’a rien changé à cette législation.-Par conséquent, si le bail ne parlé pas des prestations, c’est le fermier

doit les mcéçnter avec sés éléments Snposables, bu léi açqnitlei' en espèces.

La'loide 4903 h ’à pas créé -un nouvel impét. Elle n’a pas déchargé le fermier, ni grevé le propriétaire; elle .s’est bornée a autoriser les conseils monicipaux à sùbsti-

è la prestation. . a conservé au

' “ ié.-dM f dés’àçduitier en' joür- ,'qq 'W ïiaA éîf, é son choix, a ses

' t i r s t ^ Séloif nous, ié propriêtsiré ne ' .doit 'pas^là' taxe yféinale, et loreqaîil'l%i,ioit■ d’àvertié'einettr, i f pent-L’adresser/à -sou - Termlér pour que ce dermer opte, s’i l le . juge conrenimie, pour s o u i l l e r en joor- . nées ouen.tâches,

On peut objecter que le fermier paie ane c ta|ié;jicittale- sur lé;montant dé b cote

, ZQo)Huièr6»C’ést vrai liais cette taxe, sera de 3 à

i francs, alors qne ses .préstatïoDs s’éle- ' raient' èn 4903 è.409 ou 430 franCs, selon

l’importance de l’e- ploitaiion. Il ne serait■ pas juste de faire supporter p ir lé proprié- ' taire un impét qUi'èst dû par celui qui

dégrade les chemios arec ses chevaux et ' ses yoiturer.

Cependant, si la ta-.e vicinale dépassait . Aebeaucoopiaaomme-que. le fermier^payait , anneeUement avant, i'O'U, .il serait jqate et

éqûtableqne la di'Sécehce lût sdpporiée — u "“ -riétairéiia loi n’ayant pas voulu

• ................. fti • '‘ i^ l^ re c là situàtibn des chriivatebri " Lbtsijh'ùBé-feihie est située, dans une " cbmmnse od lérprériadons sont mainte­nues, et les terres-'dant une cbmmune'voi-

’ sine bdia^fBxe vicinatëa èté votée, lefer- miérest exposé àpayer deux fois.

liais obmmé l ’impôt n’estidd qu’une fois, ,ee dernieriulem itèmander-la décharge poBE double emploi dan? iine coam ^e, conformément à l'article t dé la loi du

^89 dé^mbro « S i, ' - ‘. U.estNiiébdii que nons ràrsbnno'ns dans „lé cs^Mulement où^il h’f a pàé de codren- j^d .y il'ra 'jm it: déàbéàéveànohs.é ce sti^at

R fw te M id 'ê t lé^*é|riméri'6ii den

À n d r é a Il a COI

p lu s a u roi i l n ’e s t ja m a is t r o p

t a r d p o u r b ie n fa ire , m a is i l y a l o n ^ m p s . q u ’il A u r a i t d û . d o n n e r

^ ' U ^ n i ^ d e le s o u la g e ­m e n t q u e p r o d u i t so n d é p a r t .

E n l is a n t c e lte n o u v e lle , la g ra n d e m a jo rité d e s F ra n ç a is p o u s­se ra u n c r i - q u i - s e r a r^ p re ssd o u i^ if lâ è le d u se n tim e n t â e i sa tis fac tio n q u ’on ép ro u v e M. le g é h ë ra l A n d ré ; èn d ém iss io n ­n a n t, a cco m p lit so n devo ir, tro p tâ id in à lh ë tire ù se m e n t, e t la dô -

n s l 'îù m êe êm re île q û é iso n s u c ­c e s s e u r a u ra i t fo rt à fa ire p o u r r é r p a re r le im a lA tirem eU re le s ch o se s a u po in t, s ’il le d és ire . , , i

L e ,su cce sseu r d u g é n é ra l A n d ré e s t . t f . B e rteau x , d ép u té > ra d ic a l? so c ia lis te d e la l " c irco n sc rip tio n d e V ersa ille s , O h OonuBÎt s e s b p if nions» s e s a tlsn h e s , e t n U en d o n s? le^ài^ceuvre, e n e s ÿ é r a n tq o ’iio h es^ s e ra d e l’a rm ée , s ’il tfeS f i>ai tro p ia f é o d é à la-F rcm e-ddaçonno? Tio, — l’e s p r it d e d i ^ t i o m qjue le g è n é ra rA n d ré y aiVaîx in tro d m t;

V oici la T é ttre ,,d e d ém iss io n a d re s sé e p a t le . "ministre d è ' l a G uerre a u p ié s id e n t d u O onseil :

Fàrisjle 45.iioyembré 199.é|.Mon cher Président,

Les derniers incidents parféméhtaires mohtrént 'qâé les ennemis'dé la Itéimbliqae sent plus qne j^âis 'dééidés à Uvrer i ’as^ sant ah gonvernement qni ienra tenn téte avec tant dfénergie et de succès,’ .

Il semble que la part que j ’ai prise à cette œuvre è laquelle, j ’ai coosacré près de cinq àtmées d'un labeur sans reiftché me désigne plus particulièrement à leurs coups ; on me rendra cette nstice qn’une telle'j^rspective ne seraitpas.ponrma dé- eenrager.

Toutefois, j ’ai trop de fierté de moi-méme et de mon œuvre,: jlai trop ' l’aoiour de-la .Patrie .et.de.la aépahUque,.panr-acce{Ëeri même une minute, fhypothèsé que je pour­rais être une cause de désunion dans la majorité .républicaine. ' .

C’est' par l ’iinioA de cette majorité qné le ministère 'Waldèck-Rbussean 'ét le mi­nistère Combes ont sauvé la République des périls qu’elle a trayenés,,et,c’est grice à cette union que le parti républicain acbéverà là'tàche a laquelle j ’ai été heu­reux de'cônsacrer mes efforts.

Au moment de prentré Congé de vous, perméitéz-mol d'adresser l ’éxpression de gratitude i tous les ainis, connus et incon­nus qui de .tous les points de la France p ’ont dans les épreuves dernières, témoi­gné leurs si touchantes et si chaudes sym­pathies.

Qu'ils sachent bien que j ’emporte dsns ma rëtraite mon inébranlable dévouement et mou absolue fi.délité à la France è l ’ar­mée et i la République, que je confonds toutes les trois dans un même culte.

En vous adressant ma démissioi^ lais­sez-moi, mon cher Président, vous dire que j ’emporte les meilleurs souvenirs ’de notre collaboration et de l’affectnensé estime que vous m’a'*ez toujours témoignée.

Veuillez agréer,'je vous prie, les nou­velles assurances -’e ma hante considéra­tion. Général Annnd

on aeledi » t pins farile ir du Loiret S ivolrdesabellb

. parett-il, le commsnce!

ir sers dur. étrerigoarMmfieMSenes

ferment hermétiquement la porte de leurs — 'jef avAOgte hb*|^Sfta,et ~~ léjiiiMiit

nyrou^lÂâùftA ejnSlible. A u w Ç — , ~ «Éd|*tÉldoux»;,lîèiiïoés

reste ionie grande ouverte.

Gars doue à Fhiver 1

l e p n x d nrA la.;taxe bfficielle

m so ts^ li.

sion so prndniré au sein du .Syndi at des bott'sbeers.bes^nns d in^ueront le prix

'détriment de là

4 • Sanatop lu in des.. E m play is daa P ostes , dos T é t^ ià f^ rë o « t doé phones. - lions apprenons que le per­sonnel de l’Administration des Postes, si

enfin créé

wasUégeBàÉàiètaBnBaàtr 'Iâ

».^viBioa « m rreuicbure.I prftBi2eh.t donné l ï parôlé an se* ê, M. Fabra^ ipôvir la IdOtura du

les délépés Italiens à ParisParis, IS novembre. — Les délégués des

municipalités et de l’Union des cnambres de commerce italiennes, an nbmbi-e de deux cent cinquante environ, sont arrivés à Paris mardi après-midi, à deux heures.

La délégation a été reçue officiellement à la gârè'de Lyon par MM. Désolas, prési­dent et Bellah,'syndic du conseil' munici­pal ; de Sëlves, préfet de la Seine; Lénine, préfet de police ; d’Estournéités de 'COns-tapt; plrésidentdu groupe parlementaire de raïbitragë international ; Mascnraud; pré- sideiR, et Iqs. membres du- comité répnbli càih dû commerce et de l’in^ustrié. . . '.Après'lés,souhaits de bieivehiie, des-

' làndanS'dnftrSrisportë nos hôtes italiens - dans-tes différente Hôt^s- où des' apparte­

ments. leur avaient été retenus.■® ' :Lb SOiri’tHf lMùqo»t'S.eû lieu' aù Grand*

Hétéli'soifs là présidence du président du Conseil. ■'

Merèrédi,: le conseil municipal offrira aux,déléguée italiens nn déjeuner dans la grande salle à inangèr de l’Hôtel' de Ville;, une brillante réception suivra. 1

U a ffita tio h en R u s s ieT roubles à V arsovie

Varsovie, 13 novembre. — Des troubles se sont produits aujourd’hui à Varsovie. On a lait appel à la troupe pour les' répri­mer. Le bruit court que dix personnes, dont deux agents de police, ont été tuées.et qu’il y a trente et un blessés.

Un» bombe à KharkpffEbarkoff, 44 novembre. — La nuit der­

nière, auprès du monument du poète Fouckine, une bombe a fait explosion avec une grande violence. Le monument a été endommagé,et les fenêtres des immeubles voisins ont.été brisés.

m

■ La sa n té d e M. Rouviei*L’état de santé de M. ROu'vie'r s’ést sensi­

blement améliOré.Le ministre des finances, pour achever de se rétablir, va se rendre pendant quelques jours ; aux environs de Paris. On pense qu’il pourra, yers la fin de la semaine' prochaine, revenir prendre part aux. travaux parlementaires.

B ii l ie tfn C o y n n i e r c l a lDu 1.3 novembre 1904

réRWR'dliii.SKlMIi.) Bifit flPStM»"”' ^ CO0BA1I*... Sl tG. HiâiO coOBAirr... 13 55 S3-5( raoœmr.. SI 60 31 53 nuxmAXM..- 93 O 93 0f DXBifiBMi- 81 $0 _39 05 _<brotiiBRg» 94 35 it'h iilvaii^ES m :VP0BPK7... . 16 90 <5 booBAMT... i .. 15 90PBOOBAQf.. I <’'5 18 raOCBA».. 16 95 16 15-.SppmkB». 16 69 16 rO ironmiM. 16 5 ) '16'S0.ifiMiFs Wmxf-hfiyi ifi!«opBânr.. s ; 44 60 * 4 ' Si «ooftAtrr..nofîKAsr.. .14-78 4 65 paocninr..’'4i7BniiiiBs.”|ÿi5!) 40 „5 4 DBBiiirar.“I f . tt -ï SfdiBtfBtSn ) ■*>■/ .'..ç:

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ifS 5940 Si «.'ai aî'-

19 SIlii jjU: .

M il=80- I «'ti-Vj - Mvifetl;

L’ontretien de» Caserne».La Commission départementale s’est

néunte Ala. Préfeetararyle mardi 8 novem-’ 'brei coiir»]it,: .sous :]a présidence: de M.

Emile DiqioiA conseiller général de l’Oise, offidw de laLégioa d’ùonnenr.

Etaient présents : MM. Setrin, Fobre,' '‘BerdiA,.le''doetenr Dsi^Mr» etiLetalle, conseiUmv'généeanx; : u ; :’ iM. Leainiir, consoler gibaéral.du ,eanr ton .do NofttUes, toujours soiiffbuit, s’était

. Soit . ■ 15.' : •'•.j.M. le préfet et M. l’iifgéqienf^en chef

assistaient àiasémi<io,aasistésde &1.-Ben,chef de ffivuion à' la FréfeCfimèi.......

m i é p r i crétaire, . .prooèa-verbal de la dernière' séance, qui estadoptésans obsei^a'ions.'. Là Cbminissibn dépàclementale, jndé- pendammentdes nombreuses affaires dont elle a eu à s’occuper, et qui concernent princâpalament dès-demandes de com- nuuies relatives à l’e ^ lo i de ressourças vicinales sur chemins riiréux,dés.rèc6n- ntdssancés' dé chémins, et des demandes dé'snbvéntions o-o. d’àU . .

: rations à des bâtiments ésm iù^sùx-dé- 'pèilses cbmmuiialès pour làybirs, oons- tEûetioii8 ..de.mares, acquisition de pompes à ’incendiè, etc., a eu surtout i s’occuper de'l’Asile d’aiiénés dé Clermont.

An sujet des Sttoreusa IbUraies par M. Hock pour aécher te liugre, et'qui, suivant les dires.de quelques personnes, -offri­raient qnélqmes dangers et.-pou>reieat être caiise d’accidents, il a été question d’un nouvel appareil, système Dehètre, et quifônctionneraitàvec môins'de dépenses 'êt'mnsprésenteb.Saoimdang»r.i:Msis les membres de la Commission, avwat de se prononcer; et siir la p rt^sition de M. le {srésident, ontpr^iQsAde désigner .un in génieur..-trè%;Compét«nt, M. S è^e , qui, prècisémen^iiS’occûpe ü’èssorOiises.'

Différentes entres quesL'ons d’une très grande imporiance, concernant l’Asile de Clermont, ont été traitées et résolues. L’AtSle d’abénésdeQIermont est certaine meut; après ies Asiles de la Seine, un des établissements les pluS importants de la France entière, puisqu’il comprend, avec le personnel, une agglomération de 2.000 personnes. •

Il renferme lès aRéoés de trois départe­ments ; Oise, Seme et-Oise et Seine-et Marne. Ces denx derniers dtoartéments ont un traité avec l’Oise, et ils eiivotent leurs aliénés à Clermont moyehaant un prix déterminé de journée qui varie tous les ans, suivant naiurrileméat l’effectif et les dépenses^

Apres la liquidation des affaires soumises à la Commission départementale et rela-, tives à l'Asilè de Clermoot, la Commission a procédé à la répartition de bourbes va eantes au profit des collèges du départe ment, et que les membres de la Commie- sion dépertementale attribuent ,aux élèves suivant l’ordre de classement.. Enfin, là séance, s ’est terminée , à trois

heures et demie du soir, après l’examen de certames dépenses concernant les casernes de gendarmerie; la sous pr^fecture de Clermont, etc.

La prochaine réunion de la Commivsion aura lieu le mardi 13 décembre, à la Pré­fecture.

èboSeéqu’ils auront vouln.« Pour t^iiTner; je tiens i mettre sous

la .comparaison dés taxes an. cieofle ef'noarellè. -'■ è"Avec la taxe réclamée par les bonlan-i gersi le pain ’MUrsit été vendn 0 fr. 40 le

'v:« Avec l’ancienne taxe établie par M.

Goacnàïele*rix dn-pain aurait été vohdû 0 fr. 38 le kilo.

• L * Avec la tu e établie sur les bases dé 11 arbitrage, le pain'serait vendafi fr. 37 lé ' kilo ■ ‘

« Avec la taxe eh vignêBic a4 eHement, en vertu démon arrêté diSftSoilt, le nain est vendu O fr: 35 lé kiloi?* i

» Je n’ai, jusqu’ici, reçtfSucun àvis ofi- ciél de la' décision prise , par M. lé Préfoi comum suite à ia réunion uè'la commission d arbitrage, je me réserve donc dé prendre ultèriBuremenr toate's dièiûisitioôs ntilea à cesujet...

«mvaincns. Messieurs, .qiie je cbèrcher&i à les rendre conformes aux intérêts de tous. »

♦Vote des D épâlés dé I’OIm .

Séana du i l novenibre.■? sur l’ordre du jour pur e t simple

. de M. Duclauz-Monteil sur lasaisie et I ouverture delà correspondance d’un citoyen). . ' '

Pour l’adoption ; 303. — Contie rlSS.S “î P®'*’’-’ Baudon et jNoéL ,

et GriBiüd ''^ ^ " * ' ^ ^ 'N’a pas 'jpris part au vota : M. ^ ad riC o u it|

Séànce du 12 nocenibn..SOTfin sur l'ordre du jour! de MM. Lu-

«i?»T'Coûjfi; . La

. — jninistredu Commerce, e t . M - .Béràrd, soüs-seeré- tàire d ’Etat, cette seciété, l’Assislànce mutuelle Union et Fraternité, dont iésiège est 58, rue Jean-Jacques Rousséau, à Pa­ris, vient d’tequérir nu vaste domaine de vingt cinq hectares dans le Vaf.

Admirâblémènf 'Sîthè, à quelques kilo­mètres de la Cote d’Azur, le château deTaxil récevra,: le»;*mp^yé8 fatigânL’Ie s .çonvalescentsjèt ceux atteints de hdiaren- lose auqiremléÿ degré.

Ils y receviioit tons les . soins que; .com­porte leur èfàf^et une nourrituré abon­dante pour un prix réellément minime i a fr. 75 les dantos; S fr. so les hommes.

Leprixdn foyige est fehlbbofsé nar la société, r .

Cette œuvre philanthropique et- humani­taire se recommande à ia sollicitude de tons les esprits généreux.

Un ppoeèë i la a ^A pub liqua da iO lM . » — Le tribunal civil de Beau- vais a rendu son jugement dans le procès en diffamation et pour réfus d’insertion de lettre rreUficative intenté par M. Loiselâ le Hépubligue de IjPise, au cours des d « - mères périodes électorales, et dent les dé­bats ont eu lieu teiamédi 29 octobre.

16 gérant de Via .SéM blique, il. Dèly, est condamiiè"'.à'iB- trui'cs d'aménde et 46 frraçs d e d o m ^ ^ - e t kt«réts.

. - Fourniture<tecn»i«rerç*;<--.*jLés;personnes qui dési-

irto’a f t il séUàil8«)iaier jtour la fourniture de chaussures miécresaires â une ou plu- ^ u r s compagnies de gendarmerie de ia aVlégU)n.(Oise, lemine et Aisne), sont in­vité» i prendre, connaissance du cahier des

Les orgah'i " sentimént

Saint-yi ni res Une

déshéritée dn ncore nne

, irienrdé retours de ta c^ tribuer à

ORPHELINAT^ ■ E a  d c p a U in ^ t ; ÿ i4 iiu d p e .

Reconnu d’utilité publique pur déoret dn 5 septembre 1890.

Nous avons parié danrnotN Avant^eiw nier numére de l’Orphelinat de l’Eosai- ghement primaire, dont le nrésilent est H. Mézières, sénateur.

Yolci, en ce qni concerne l’arrondisse­ment de. Senlis, les opérations éfféctuées par cette Assoéiàtion. Poifirlasdi^aription, on est prié de s’adresser à-M. Blanchmd instRutenr è Thhrsrgny (Oise). ‘ ’

Nous rappeiens que l’œuvre de l’Orphe- limd primaire de France a un comité local dans chaque arrondissement. Le comité local de Senlis: à. ponr qH’ésident U , Fa-

mmre ; pour fie

prochain.Des.àvis pour établir les soumissions v

sont égàlemèht dépoliés. '

A Compiègne, comme on le sait, la taxe municipale était appliquée au prix du pain. Les boulangers, usant dû droit que leur confère'là loi; s’étaient adressés au préfet pour demander de defendre leurs .intérêts devant une commission. Un journal local-1 axfquèHa 'municipalité n’a pas le don de ' plaire, parce qu’'ené~n’ést pas inféodée au Bloc, s-’est-tout naturellement empressé d'introdnire la politique dans cette affaire, et quelques boulangers ont eu le tort de ne pas àpércevoir l’écueil e t d’emboîter le pas au journal radical, qui, dgns la discussion, avait plus à cœur d être désàgréable à la municipalité que de défendre les intérêts

- proprement dits des bon angers.-La question est revenue vendredi devaat

le Conseil municipal de Compiègne: Le maire en a fait l 'historique depuis le début., Après avoir exposé les . motifr qui

qiavaient amené à modifier la taxe, à la suite de nombreuses réclamations et en présence de l'approche de l’hiver >, M. Foaimier-Sarlovéze a donné lecture de la péiition adressée àn préfet par ies boulan­gers se prétendant lésés, et de la corres-' pondance échangée entre la municipalité et iadministraitioh préfeCtœràle..'

Le maire de Compiègne a terminé son rapport par les conriusiôns' suivantes : -

R a p p o r t ' ' ' d e M . F ourn ié iv tq iB trloF èze .

.. c 'L’arbitrage de M. Serrin'fptbieh plu­tôt un départage. Surlaquiastion duicours des farines, M. le Présidèht';accoirdà aux bonlangers uneplus-valûé d’environ 50 cen­times au-dessus dés cours que nous avions adoptés, mais il se maintint an^deSsons- des marques .de choix .qtfiqn:evait précé­demment accordées .anx'boûlàngersetque ces derniers réclamaient à no.qveau. ... < En ce qui concernede rendement, que j’avais relevé à 43ti kilôgf. èt'qu'é les bou­langers voulaient réduira , à . '4x5 kiiogr., l’arbitre lé fixa à ) 28 lâlitar. '

« Ce sont ces dénz'points qué le d é l^ é de la mqnicipalité crut devoir adoptof, afin de bien montrer anit bonlangers qnè noos éntendionsnous montrer conciliant vis-à- vis d’eux.

c Quant à la prime decuisson; qui n'était 'Sue de 8 fr., 92 pard 0» kiiogr. avec là taxe I e H. Choyel,’ et que Ml.Ggurnày avait

wrtée,à lAfrancs, notre réprésentant re- :ésa énergiquement .d’enyoter Ueugmentà-

Ûoii, ' et re s protestàtiôn's 'idr cé. point

_ Sccien Huoen et vigourocx ainsi 'eoûéii:Obambre, approiÎTant les déclaratioos dû

f ™ ' Æ d u % ‘SA“ i 9 ^ ^'*“,4®??,: * V i*” ® reoipuguie de 1 Oise, jusqu au 5 décembre

U Chambre, des députés a adopté: :Ont T jié pour.- MM. Audiator,. Baudou.

Haudncourt et Noël Ont vota contre'-.- M -M .Oûqndnâat 'GaiUaTd.— SOTtio sur la inotion.de MM..Dènvs Co-

çhia, Etieune, Paul Deschsnel'ét ju le s Dela-. fosse, invitant le m inistn daeAttUres étran­gères k ouvrir les négociations .auprès du

“ 8i»i»jnTue.<ûàaéhorerl’a r - Neûve to convention ..concaniant-Terre-'- La Chambra des députés a adonté

Ont votApour.- MM. Audigier.^uquesnel,Gaillard, Baudncourt et Noël. > . •

N’a pas pris part au voté : M; Baudon. ' ’projet de loi portant ap-

- , i . / f ? ®®“''®“fioii concernant Tèrre- «euve et m n q u e occidentale et Orientale.Chambre des députés a adopté.

Ont voté pour .- MM; Audiper, Baudon.Haudncourt et Noël. «uuou,e t^ îiE îîa* ™ ®" ™'® = Duquesnel

Séana du 14 noeembre.Scrutin sur l’amendement de M. Paul Cons-

diminuer le crédit du cha- S i K mn <4® l’Instruction publique

^ “® ‘*® »nppression de ia Faculté de théologie protestante.La Chambre des députés n’a pas adonté.A voté pour .- M. Baudon.Ont voté contre .• MM. Audigier, Duquescel,

Gaillard, Haudncourt et Noël; —

Vota dot Sédotoups do rLloo.Séana du 10 no vembre.

— Scrutin sur l’ordre du jour de M. Méline. coDçu en ces termes : *; « Le Sénat, résolu à défendre le traTeil na­

tional, prend acte des déclarations du eouyer- nement donnant rassurânee que la loi sera

?IFdrl“d S U ^Pour l’adoplion, 149; contre, 54.Le Sénat a adopté.Les Sénateurs de l’Oise ont voté

: a. poivette, iQgpeâlenF primaire ; pour riee-pré- sident, M.FrancoHn, iBJtiiûteifr â Crepy; pour, secrétaire, M. Hanoiet, institateur à Çreil, et^poor trésorier, M. IBlanchard. mstitûteni’ â'Thivéniy.

Ce comité local compte 5 membres fon­dateurs, 44 membres honoraires el65 mem­bres p a lp a n t s .

Les'yipinies dé l’Association,reht : 4» les qrphmiosTlepère et mère; «• les orphe-

- lins de père; 3* les orphelins de mère.- L’œuvre accorde, chaque année, à ses

orphelins, nn seesnrs en argent qni est proportionnel-an nombre des orphelins âgés de moins de 46 ans qui sont à se­courir.

A piartir de 45 ans, les comités s’effor­cent de procurer aux orphelins, par tons les moyens à leur disposition, nne sitna- tion en rapport avec lenrs aptitudes.

Le comité de Senlis a seconrn :En 4894 et 4895.. 3 orphelins.De 4896 à 4899.. l —En 4900 et 4981.. 3 —De 4904 à cejonr. 4 —

Chaque erphelin a reçu 95 francs par an environ.

B eoenaem ent des ohovaiix a t vol- tupoa. — .m» opefiüons relatives au re- censementAes taievaiix susceptibles d’être

-. réqaisiiioBnes; en- cas de mobilisation, commenteront.le t.*f. décembre prochain... A partir de çeitAdaie et josqu’an '34 d"é- cenibre, les propriétaires de chevaux, in- ments,; mulet» et mules devront se présen- 1 à, la mairie de leûr domicile ponr v déclarer tes animaux en leur possession Cette ÿclaraüoü doit être faite dans les délais fixés, sous peine de poursuites cor- rectionneiies.

Cette année, on procédera en même temps au recensement des voitures atte­lées, à 1 exception de celles servant exclu­sivement au transport des personnes.

F auaaea pièoaa. - , On signale une nouvelle circu ation de nombreuses pièces de >0 francs en or, à l'effigie du coq, de Chaplain.

A t r t T w s S e n l i s .I n i s t i t u t i o n S à i n t - V i n c e n t .

L a o é a o c e d e p r o j e c t i o nLundi dernier, à deux heures, à l’Ins­

titution Saint-Vincént, devant nne nom­breuse et brillante réunion présidée par »grDouais,-évêquedeBeauvais, M. Bacqna, à l’aide de projections Inmineuses, nous’a fait visiter l ltaiie '

Froio do Télégrom iries. — Le m i-T séance récréative et instructive anistre des affaires étrangères demande à la I **““ le charme, pendant deux heures,Ph-.mhpa nn owA/lvi un_j . I fmit nn anrlîlniivA Anwt;».A ..Air a __

pour.

figurent d'aillèurs an procès-Verbàl:'' Les boulangera en démandàiént' le relè­vement A 45 francs, mais' il né tour frit accordé que 43 francs.

< Ëtt-résmné, les bonlangers de Com- piégné n'ont même pas -obtenu, malgré li« Balandrean. qui: assistait îlenritrés £»- tingné représentant, |f : Lefort, Ireavan,- tages que leur, avait concédé la taxe de. H. Gonimt^- ét noos. ponvons.direqné.ieé bases dé .'notre ' àW je-dû '30 ào1t|tlbront pltitôt maidifiéré ^ V.'Seridn dàns ? ' dé mettre fin à un confilt?

e? ■ ; vase» anaa tru rd sc a a tr •*

Ch .mbrë un crédit supplémentaire de 450 nulle francs pour payer ies frais de dépê­ches télégraphiques nécessités par la guerre

.russo-japonaise.-Voici, en effet, ce qu’a dû dépenser, pen­

dant les six premiers mois de l’année, M. Delcassé pour se renseigner sur les événe­ment d Kxtrême-Oriéüt ef pour envoyer ses instrnctions : pour Tokio, 68.80t fr.; Pekiu, 48.0 9 fr ; xhang-Hay,; 43.877 fr.; Chefott, 6.306 fr.; Séoul, 3.643 fr. Total • 466.660 fr. ____ _

tq s .A ssiao s de i’GIso. — Les pro-.çbaines assises de l’uise, ponr le quatrième trimestre de 4904, s'ouvriront à Beanvaig, lé lundi 42..décembre, à onze heures'du matin, au Pamis de-Justice. E les' seront présidées par M. Darand, conseiller à la cour d appel d’Amiens, assisté de MM. Picquet,: juge au taibnnal civil de Beau- vais, et rabignou, juge suppléant an même Sièges-- - ..' '.

Aéoooiatloji'aiiilooio doo Gojiton iiiors do FUiao.'— ài,..Berqnier, presi4 dent,de i’Assbcialifl>n amicale, des canton­niers et chèfs cantohoiers de 'l’Qigè; vient d.’adr^srer aux membres de l’AssôciàtiOn la lettre'riiivàhte : '

« Mon cher Camarade,« Je vous prie de vouloir-bien assister à

lU: réunion de .l’Association Amicale des Càntonniers. et. Chefs îpiantonnierg mui aura lieu lé dima'ncbè ffl noréinbre 4904, a une heme ét demîéde"fe!eàéé; salle dé la Juai tice de^Pmx', s Béanvàis.

, • ' idn^A utour :K Coiamtaston é’eh-

quèt» et du Congr뻑de-LyiAi;: : >-A ÇàPPOrt û«»ë«L:P«r .1» trésorier e t les m’ehibre* dirçofitrSIe ; ...3. Noimastian d’uoe noavcUa coiûmiÛiim

cbsrgèedAta^W r- nne -mniTrital nétition.- et renouvellement dn borewi:

€ Je vonstai donné iconnaissm iG e, A la -d « n } ^ j:è “iÙon!d.e jÇreil, d’une lettre de M lxB3pecteitf|pi;^^d«;Clheiniftdefer du Nord ainsi conçue :

« lireOTÛn»étiedonné:»m tv, dànetareu- rent de l'annte 1904, . 4 »uçune..nqûvrile de- inendeae-réaùction:'»;- ’ ‘: » ' y àtgré cétte décisioii^'jié vètta prïérai

cPétréûcibbrénz: A-éétto'renifioff; v n 'l’iin- portance de l’ordre du jour. ' ju

< Cémptantsur votre retotitade, «gréez, cher camarade, l'assmrutoà'de tout mioii dévouemenL, . , .i...,

< Le Président

tout nn auditoire captivé, subjugué par une description des plus intéressantes. M. Bacqua s’intitule modestement artiste amatenr; il est mieux que cela, il est conférencier et historien érudit. Eu effet, avec une trAce exquise, une éloquence d une touc ante simplicité, « . Bacqua n jus a promené A travers les monuments ef les véstigès de l’anliquitè. Qileis tou­chants souvenirs pour ceux qiji connaissent les grandes époques de rbistoire romaine que ceux rappelés par le conférencier, qui nous a promenés A travers Venise, Naples, Florence et Rome, où les trésors archéolo­giques fourmillent 1 ’. A la vue des monuments de la Rome païenne, religieusement, scrupuleusement reconstitués, Mv Pacquà nous sert-d-ûne façon admirable; frappante, des « tranches d’histoire.», L esprit des jeune» élèves'et dé leurs invités est attentif aui récits inté- r« » ^ ta ,de ,to» ten r,à ceprint que J’iltau siott'est 'commère. On se ^ u re suivre M. Pacqna an milieu des ruines, ou bien

C o n co iiF o d e G b r^ ssu itliA m eo .L’expoiriiién de chrysanthémesqne vient

d organiser Senlis, âansrancieniie rêliM Saint-Frambonrg, la Société d ’Horficulture de 1 arron^ssement; à été des plus réussie, et,des pius intéressantes

Sans avoir les proportions de l’exposi­tion parisienne dn même genre, elléa réu­ni un choix de produits floraux qui ont lit­téralement émerveillé les visiteurs de di­manche et lundi et on t valu de sincères félicitations aux exposants.

Une foule des plns nombreuses a rendu risite A cette mervmlleuse exposition, oA l’on a pu admirer les produits de nos meil­leurs horticulteurs.

Parmi les exposants, nous avons particu­lièrement dUtingué : M. Vandeville, de Pontpoint, qui exposait des sapins, rosiers et fruits, et .M Pichon, de Villers-Saint- Paul, dont les arbres et les fruits sont de toute beauté.

Nos fleuristes senlisiens, KM. Budin et Marie ont droit A toutes nos félicitations pour leur merveilleuse exposition de plan­tes vertes, bégonias, chrysanthèmes et œillets.

L’exposition de légumes de M. iGomot a fait l’admiration des visiteurs.

E x p o s i t io n h o x riico led e s 1 3 e t 1 4 n o v e m b r e .

Les résultats dés epérations du jury on été proclamés dans là séance qu’a présidés dimanche, A denx heures, au lieu ordi­naire des réunions, M. Lecomte sous-pré­fet de Senlis, entouré de MM. Thimn, président d ’honneur; Vantroys, président;

I deWaru, maire ; Driàrd, adjoint.; Leliévn, Vignon, Tirlet, Cavaillier, membres du bureau de la Société, etc , etc.

La distribution des dipiômes et des mé­dailles sera faite dans la séance mensuelle de décembre.,

Jury : M f hsntrier, président ; M. Tho­mas, secrétaire; MM Pecquet, Pillois et Gorenflot, membres.

Horticulteurs.

j exposition.Médaille d’m;. de, 2* classe, offerte par

VlM. les vice prudents dé la Société, X. Budin, horticiiltenç .à . Senlis, pour l’en­semble de sOff exbosîiion.

.Pépiriiériitei, ■Médaille de veimeil de I» clasM, É .

Vandeville, pépiniéristo A Pootpi»nt,:podr l’ensemble deèqn.exposition,'' . '

Médaille de v^méil dé 2* classe, îf . Pichon, DéDinièristoA VMleriLSaifeorei pour l’ensemùe d e ^ n éM ütom î '

Màrcêièfien. ' ' -Médaille d’argent ,de 4i* clàsaerMH|*r

céé par uné'plià^lSto à r i i s t i ^ ^ ^ S îB Lofferte, par U- de Waru. -majn de Senlis, M. Ggmot, mandchér A' Senlis, . podr 'iséndansie dédàré dés càtacombeïoù chaâüe “ ^ c h e r A Senl

pièrre-rappeHé dés scéuM émouvant 's I de l^ m e s d iv ^ ,[ d’hënlsme,-éd''le$parois semblent encore

résonner aux accents des'chants des .pre­miers cbrftteisi .

Inopootion dépoptoiriontalo du M ntpto-j —£<Lo ' JBiaiMtOsidit. GoeiqHreer d é llndtutrie, des Postes.-jto^^l^ri^es: a décidé qu’unpecteur déptotoménfaflAta^Midô^ v s i i

' * • Pac.qtm,-qttla dû, malheureusement limité par le tentost' réduire ses descrip­tions, nou^ a trairijHiités a plus de . deux mille "Ans eh .artère'. , nous .initiant aux mœur^ aux jisac^qtàuxrettes religieuses et intéitiûes"dé'cés' générations.dont noos sommre si éloig;oés, ihais dûnt il nous a fait un t^ é a n vivant e r de tous points

'oxacf A ce que la tradition nous a rapporté. Nous devons: au ' contoreocier,' que Mré Doifids mstncérannnt félitdté, des comjÆ- ments-bieu mérités.^Enrcela, nous sotmnes

: en communauté d’idées avec l’assistance, qu|,.nfrlui,a; pas ménagé ses applaudlsse- ments. ', „ ’ ' .^ Sépnre ^ ’t é r ç l ^ je p^nce

: C herm m t e t ^ r à q i é m i ^ , opérette eiffantine,^û»B s o ig d i^ r ravissant, à

les jeunes'éfWes deîuaiKuiton’ lies premiers rôles, Pnnce Charmante’,GroquesAfraidll ouf-été bieto’t e ^ par tBsr jeunes ffai^es do laGiraudiére et Jean Lesage. Les. costumes' étaient ravi8ranléitobeauté.et de fraicbenr, le.ssriistes pleipsd’éntrajn. et ide vigon-

An w m ^ ^ t e lê.Prtfët dés études a

«er, H. P ^ u a , un jennotortoM^ fesseurs, et _ -rinpllipjg4ér-*tr^^ijîyjtû

iBenijwoimc» *} a-B

Arnateun.Médaille d’aivént de S* claiise ; X . Uot-

ma'nn, maréchal-ferrant^A Chômant, ponr jpn exposition deiruits. » . ,

En outre, des félicitations tontés ptmti- culiéres ont été votées à*M.' Thomas, jar­dinier-chef au châtaan de-TtdMn, pour sa remarquable exposition, bersconoenn, de cbrjrsanthéaêéendéÜs.ètoipéis e td ’osU- lets, offerts peur la -tembok.

Des félitatafions. put éggffement-été dé­cernée» Ain.'ïtoizeaô, jarmpdœ-nreinieûr de là ; SoCiéié d^ottiCnltiBe, n âF àcm appert; boré^'éOnédttrs; de fridts do tonte beauté provenant du jardin d’eiqpérienoes.

serètlIewT.' . ■Médaiiie .d’é t a t de 47 dasse AH. POc-

8é serrice ,eùquàhtôdpjari^w icblffde l’h ô ^ « ü é - ' ral de SenlM. __ _ ; - ? - :

'. .T O reO bl^ "

Les détenteiir»d8S:billetS(fafttats dentî lesmsmires sqiffent n'ont- pes oMoimmS- : clamé leurs lots..:; : . 5 . j .

6 — S 6 -L ? 5 8 — 'S R ’i—363 3 6 6 - ^ 6 8 7 — 6 l» - r -784 -? 880 -? 966 —.9 » ? - 4634 -mJ0M— 4073 r r 4 '0 4 -^ 4 1 8 * . •

H«|l|Sd koond letaguùjMil hnitne k j

Poo tom *!

■C" * X -"garnuméraire 1 d’étre nommé purean de ta ru

Toutes-nos fa

l , ’arriv< iLre voici dan

de k caserne,taitiàdis au r lovêtns d’un verrons »e proij tltoories, légén leur nouveau « rsssés dn grand Bris ils portenij de k vieille iw a quittée les 10 assombrir le» iu serait complet. ;

-En «énéral, toM-heureux, ai a de noble da

peine, dan» f gntiini!itari8tei.j -neiûentde détq

. devoir p'atriotM l’écart, bafoués menés. ,

Non. le patij France! Leculj an honneur, qu murs. ,

La caserne, cl nouvelle vie ; f une nouvelle fa avec l’accueil r esprit do cama ter plus facilenet’fcs réglemei mettre - l

La gare est] milHairement. ■ sont cueillis pai c’est encadrésj font eurenirô

Nous somoL, longtemps notr berand, qu ils t. ternel auprès d i

Voici le son bre,qaiest en L

ifienri IV ; M il| RocHKUixu, piq bliothéque de 1

SonunaizeiIa& Légende da !

Ion. . . . . V » • V <■.Chronique du ma Monomentt et C

Le Beffroi de j ' L*£gaUtéa poésie,

Xÿhémén<&s de La Fiancée de Pd

roman contemp P inû Gaîîice ! p pem^ères nouveL Les LiTres nouTi

raoe^ traduct. de Prosodie vers sans

U n e vc. Aujourd’hui,] - tare fériniêre r et C*, A Duvy, j chezM Frère,

Peur arrête» serra le frein, ! entraîné par 1 A une vi*e all^ 'reuse idée de bordure du d’un frèin.

L'un' des ch'd du véhicule

' bléssé. Le tu cmsiniére exp Leroux, qninci

A v l s l Nous rapp

bioyâatte, nmt venue, do | éclairée.

Nous donnon ^tontravention

T h éLundi S t 1

et destiOa k

d’ï ___Prix or

tien, s’a

P o lio o IAtl

Présidence 1 Ministère publ

Page 3: Cotis&Üdesliini^rêSi.ps- «J—rr- .- - V-'bmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_11_17_MRC.pdfSttM t, fé N aeen^ i994 Nous ravions prévu, ç^Æ^dver- sair«s davaiant eac^ee^Fim

P a t r o n a g e . S e d n f c y i w l -niHMBch* »oir. 1* ieaaM « • » do ^ -

î , .ai^ tfn n feB iêü oat o f t tt . o n f t ^ - ( Ï ÏS S b à leur» io»»**»»

r t S . l’A re W p d tte d a » * » ^ » #I f ^ r S a raxeelÏMiltf MW d ' i i i ^ M p

à prédder is s*aw». L« srito étoU

ïrtmpo» > r dw B m oi «rthoMiMte» Sdébttt d^p i*» non* obligeJ reaTow

«eW n 4a d>JlttA mafll^au mtéê‘Œ n .T p n U ^ ^ ^ nous prions d e là

dit Damblr, l ’entend condamner pour * ^ o - qneriâ à jo o n d'empriaonnement,

Bminàn't. — Ayant .trouTè une W ljto ^ montre en o r/U -n o m m i.M e u ^ e r Æ tdrér C »aU nt), âgé de 3 0 ^ » , la l l^ a*est approprii cet objet et ^I frir-en vente an-aienr B dval, byonfier a^ 'iS w t^ n d â n œ ^ o ù r son acte d’indtocatease à nn mois tfemprUodnèment.

ChtanbVù. — Le 14 juillet, le nommé Hor- v ü lJ ^ Æ e n t) , âgécttion* frappé d*iin Tiol^ot coup do. poin^t rasieur Dufay, ▼ioîUtTd de 68 ans.

i. Il est condamné à 25 francs d amande, arec ! application de la loi Bérânger.

1 im loi ae sursis* te nomiMc *-sa»-j v—r — âgé de 17 ans, trouré sans ressources a Cnantüly.

P o n te s e t T é l é g r a p h e s .M Rocber, l'aimable et sympathifue

arnnméraire des postes de Senlis, vient Stre nommé aux mêmes foncuons au bareau de la rue du Bao, à Paris.

Toutes nos félicitations.

L ’a r r i v é e d e # « B le u s ».Tas ïoici dans nos murs — et dMS ceM

A caserne, - les élett*. «eux qu on met­tait jadis au port d’arme. Tout à l heure Mtêins d’un pimpant unirorme, nous les Terrons se promener en ville en de longues S rie s . l^èrement « dépaysés » .sous learDOUvew costume, et comme embar- S s du grand sabre que pour la première S poFtent à leur côté Si le «avenir ja ig «ioiile maman ou de la fiancée qu on « oaittée les larmes aux yeux, no venait assombrir les idées du bleu, son bonheur

**Eq vénérai, le jeune soldat, et c’est fort heureux, a la n o t i o u e i^ de ce qu il T ade noble dans la profession des arme^ iDeine, dans le nombre, y .a t il quelques antimililaristes enragés qui essayent vm cernant de détourner leurs camarades du deroir patriotique. Ceux-U sont tenus à îtort, bafoués, parfois même assez mal-

"*Nob' le patriotisme n’est pas mort en France! Le culte du drapeau est toujours m honneur, quoi qu en disent ses détrac-

“ U caseme, c’est pour le jeune soldat une «ouvelle vie; le régimeut, cesl pour lui Îm nouvelle famille, où le bleu retrouve ivee l’accueil bienveillant de ses chefv un esorit de camaraderie qui lui tait snp^r- ter plus facilement lesardes règlements auxquels il doit se sou-

“ ïS^gare est depuis avant-hier gardée militairement, selon Jsont f ueilüs par des piquets de ®‘“est encadrés de bra es uussards quils font eur entrée dans nos casernes. .

Nous sommes sdrs, coiinaissant deptus longtemps notre beau régiment de Cham-borand, quils trouveront un ^ n e i l fiu-ternel auprès des anciens et de leurs chefs.

L’E s p é p a n o e , Revue libérale. Voici le sommaire du numéro de novem­

bre, qni est en vente rhez M“* Oitsb. place Henri IV ; MM. fE iii, rue Saint-Hijaire ; RoCHSBSàD, place de la Baile, et à la Bi­bliothèque de la Gare.

Sommaire du n" du 15 novembre :La Légende dn Mont Gane-

lOB.......... ^ ................................... A lbert Malo.Chronique du mois. . . . . . . . . L ümen.Mouumeuts et Curiosités

Le Beffroi de R ouen . . . . Louis F a b u l e t .L’Egalité, p o ésie ..................... H onore V arlbtEpheméndes de Novem bre-.. L e Chercheur . La Fiancée de P o rt-A rtliu r,

roman contemporain . . . . Carlo^ tch.Finis G a î l iœ poésie............ F . de B brn b ard tDem ères nouvelles.Les Livres nouveaux : Ho-’

race, trad u ctio n ; E ssa i de P rosodie fra n ça ise , vers r im e s ................. I<oüp B e r tr o z ,

U n e voitui?«5 e n p a n n e .Anjourd’hui, vers midi, une lourde voi

tnre fariniére de la Maison Floquet frères et C“, â Duvy, venait livrer de la farine chez a Frère, boulanger, rue de Paris.

Four arrêter l’attetage, le conducteur terra le frein, qui se brisa. Le véhicule, tniraloé par la pônie dô la rue, descendit lune vi*e allure; le charretier eut l’heu­reuse idée de diriger sa Toiture contre la bordure du trottoir et s’ea sertit comme d’un frein.

L un des chefaux tomba sous les roues du Tébicuie et lut assez sérieiuement blessé. Le itmou de la voiture brisa une cuisinière exposée à la deranture de M. Leroux, quincaillier.

»

— Sur opposition à de» jugemwit» dé- feut, pronoMâ» à U »nite de nombreux déUUde chasse, le Tribunal condamne : . .

Potdevin (Chàries Alphonse), à ^toi« mois d’etnpriaoonemeot et 150 fr. d’amende.

Petit (Jules), à trois mois et quinze jour» d’emprisonnement et 150 fr. d’amende

lUam (DaTidL à trois mois d’empnsonne- ment et 150 fr. d’amende. . . •Florent (Victor-EmmanneK, a deux mois d’emprisonnenient et 50 fr. d’amende.

L.mbert (Marie-Henri),- à dnq moi» d’em- prisocnement et 400 fr. d’amende.

Plumecoq (Aùgnstin-Paacal), à 50 franc» d amende.

CrtÜ. — Surexcité par la boisson, le nomméW arn et (Edmond), âgé ^ 28 an», Io m m d .Toitnre» à Creil. a outragé les agent» Berthé-

**îî^8t ccmdaimné â 25 franc» d’amende.— Dac» la aoirée.dul” octobre, le nommé

Delaroelle (Adrien), âgé de 29 an v déW tœt » Creit, rencontra le sieur Hary (Daniel),, de Verneml, auquel il réclama le m o n tâ td ’m e petite dette. HaTy, ayant répondu 9“ tj “ vait rieo, le nommé Delaruelle, conime ac­onit, lui port» plusieurs soups de pomg.

H s’entend octroyer 25 francs d amende avec la loi de sursis.

Crouy-en-TAetle. - publl.» à la pudeur, le ” 0“ “ ®»iré),.âgé de fâ en», est condamné à 25 fra»c» d’amende.

Dietidmne. - Le 15 juiUeU le »<>“ “ * P “* monüer (Donat), âgé de 21 “ »> paraage à Dicudonne, a outragé la garde'* l lê s fc o n Œ p ird é fâ u tà 5 0 fr .d h u n e n d e ,

Feigneux. ^ A teSU'téôî.Brop co p lM ^U - batioos, le nommé Jaunet (Lucien), âgé de 16 ans. qui arait laissé sa raison aq fond du ▼erre, a frappé ayec un coup de PO“ Ç caln, le slèur Detorme (Léon), qui fu t blessé

* P?msutel’’pour coups et port d’arme pro­hibée, Il s’entend Infliger K francs d amende, arec application de la loi Bérenger; il paiera en outre 5 fr. d-amende pour iTresse.

Gondreville. — Expulsé du débit Desouche, le 31 juillet, ver» dix neures du soir, le nommé Colpm (François), âgé de 2$ an», a outragé le garde champêtre Vincent, qui I invitait a ren­trer chez lut. , . A A E A.Coût : huit jour» d’en^risonnement e t 5 fr. d’amende.

yfmtataire. — Pour s’étre porté xéclpro- quement des coups, les nommé» TauUé ( Charte»), 24 an», Debne (AogeUna), femme W ullé, 22 ans. e t Debne. (Mane), femme Ca- ron, 27 ans, sont condamé» chacun â 16 francs d'amende avec «uxsls à l’exécution,

Marimeal. - Le 24 juiUet, le nommé Melln (François), âgé de 22 an», berger â Mortenval, se présentait vers neuf heures et demie du soir, chez te sieur Colmont (Atolphe), pour lui demander de. la poudre. Le sieur Colmont lui ayant répondu qu’il n’sn avait pas, Mél'n lui porta un violent coup de poing, qui 1 a t­teignit au menton e t lui occasionna une bles

^Melln est condamné par défaut en six jour» d’emprisonnement,

Nanteuil-le-Baudomn — Pour vol d'une somme de cent francs, au préjudice du sieur -Vullmet, receveur buraliste, la nommée Let- trlart (Lucle-Eugénie), âgée de 23 ans, veuve Beaufort, s’entend octroyer trois moi» dem- piisonnement, avec le bénéfice de la loi Bé­renger.

— Se trouvent en état d’ivresse, le 25 sep­tembre dernier, vers neuf heures du soir, le nommé -Vitry (Edouard), âgé de 43 ans, a ou­tragé le brigadier Peney et le gendarme Gour-don, qui l’engageaient à rentrer chez lui.

Il fut conduit au violon, gratifié d un pro­cès-verbal et s’entend condamner a to francs d’amende avec sursis, et â 5 francs d amende pour Ivresse.

Saint-Maximin. — En »â qualité d’étranger, le nommé Lepage (Fernandj, 21 ans, sujet belge, rempailleur de chaises, a omis de laire à la mairie de Salnt-Maximin, localité où il est venu se fixer, sa déclaration de nationalité,

11 paleiA-fi francs d’amende,Senüs. — Canevart (Giovanni), âgé de 28

ans, sujet Italien, qui, dans la soirée du 6 no­vembre, étsnt Ivre, s’est rebellé contre les agents Quentin et Dhallu et les a outragés; est condamné à huit jour» d’emprisonnement e t 5 franc» d’amende,

Vemeuü. — Dan» la matinée du 14 septem­bre, la nommée Deneux (Flore), femme Chan- trelte, âgée de 34 ans, a exercé des violences sur la dame Luc, née Legrand, et la jeune Luc^^Ëlto's’entend condamner â 25 fr, d’amende, SV6C applic&tion Is loi Bèrozigsr.

--------------4--------------üifaiMshA d e S e n l i s

d u M a r d i 1 5 N o v e m b r e 1 9 0 4

A v is a n s C y c l i s te s .Nous rappulons à nos lecteurs que toute

bicjcleite, meme conduite à la main, la nuit venue, doit être munie d’une lanterne éclairée, . . ,

Nous donnons cet avis afin d éviter des «ntraveniions aux fervents de la pédale.

NA’rURB

cErba lk s

Tromentqualité..( l" qnali

I? I

T h é â t r e d e H en U s.Lundi 2 i novembre 4904, à huit heures

et (tenue, la tournée Gustave Darcia (di- fecüon Paul Gandin), donnera jine repré- teniation de l’immense succès du théâtre de l’Ambigu : Lee MysUret de Paris, pièce eu 3 parues et 9 tabieaux, le chef-d’œuvre d’Eugene Sue. , ,

Fnx ordinaires des places. Pour la loca- Ùou, s’adresser comme d usage.

Saigl*.....................AvoineIFarine, l" qualité.'.... Pain, le küo |

S e n n e a t s a c r é .Four faire un serment véritable.Après tant de serments hratais.Jurons que rien n’est comparable An Congo, ce savon exquis.

Quelques Ségantt au parfumeurVaittier

Police c o r r e c t io B D e l lo d® S e n lW ,Audience du 44 novembre.

Présidence de M. Paisaht, président. Ministère public : M. MnnsiniB, substitut

Bette Eglise. — Le 15 septembre, le nomméT.b fvi AevA elm ans monesev-

L© dram e de Précy.

L E (sa a R S S E S .iJ X :V 0 J S m

B étW sy -S a to t-P lerre -^iGeitsiaKOKieiPAL, Ee'eoiiseil.auBHipal se réu­nira de nouvejmdemainyeindredi. à qwtre. heures du soir, pour le continuation de la (iistmssiou de son ordre du jour de le séance’ de dimajfrhe dernier.

champêtre Guédée et enfermé «u poste i.e 18 «ptembre. Le Bras, qui était encore pris de hûisson, vint trouver le garde dans la cour de l’icole, se jeta sur lui, le saisit au cou et chercha â le terrasser. Cet Individu se présente levant le Tribunal dan» un état voisin de l’ivresse, ce qui oblige à de nombreuses re­prise» l’huissier, puis les gendarme» de ser­vice, 4 Intervenir pour l’obliger â s’asseoir et Witer nu’U ne se livre 4 quelques violence»

— Ôn non* écrit ;.*' Dans la deridére séançB d s Conséil

municipal, M., Gre**ier, maire, a proport qu6 les sommes'- qui étaient votées par lecons) il ■f our- dis! b-ilioti do.-récompenses irimestrislbis auit.éleves tèé plus.nféritant*.. fussent verséeis â la mùthalité scolaire au nom dé chaque él‘ve. . .

» L-idééde r . Grossier est louable, mata elle n'est pas faite pour encourager les enr fants à bien travailler ,

« Le» enfant» qui fréquentent 1 écolo ne comprennent pas' le prix qU’il». devraient attacher à la mutualité ; c’est 14 une ques­tion que sètits ne comprennetit m'me que

lOlUUO». .« Si vous donnez à un enfant quelque»

sous pour être versés à la Caisse mutuelle ou , ‘la t.àisse J ’épargne eii récompenso de son assiduité â l’école et de son travail, il 08 retiendra pis longtemps le souvenir desa récompense parce qu’il n’aura rien sous les yeux la lui rappelant.

t Mais si â cet enfant vous donnez comme récompenseJin livre quelconque, ce livre au moins res’tera entre ses mains, lui rap pellera son mérite et il en sera fier ; puis ce livre, il pourra le montrer, avec lui il ee,urra, cé qu’il ne peut faire 'avec la mu­tualité et l’epalqfue dire qu’ît a uh prix et aj'uuter qu'il espère encore en avoir d’au­tre», et dans: les famille» pauvres c’est une joie pour le» enfants d’avoir un livre.

» L’idée de M. Gressier ne peut être prise eu considération qu’autant qu’elle ne sera qu’un sUppléuient aux distributions de récompenses. >

— FÉiii nn Saintb-CMcilb. — l a FM- farè municipale a célébré, samedi dernier, sa 45* fête annuelle de Sainte Cécile. Sous l’habile direction de M. Elisée Regnault, son chef, elle s’est fait entendre à l^ lise , au cours de la messe, où elle a exécuté plusieurs morceaux qui ont produit un excellent effet sur l’auditoire, toujours de plus en plus nombreux.

L’aprés-mtdi,. elle a fait une promenade- concert à travers le village. _

Le soir, un grand banquet avait lien chez M. Thierry, à l’Hôtel de la Vieille- Souteille, réunissant le» musiciens et leurs invités, parmi lesquels nous avons remar­qué MM.,Gre»sier, maire; Lefévre-i.e- queux et Duchauifour, fiergeron (Antoine), llarlant, Regnauft, Decorbie, Lesueur, Picart, Uvoisier, Fiot, etc.

Pendant le repas, très bien servi, la gaieté et l’harmonie n’ont cessé de régner.

Un bal, qui s’est prolongé jusqu'ù deux heures du matin, a terminé la féle.

PRIXDSS

itnuiog.lACSSX sais s»

33 25 .. 2523 25 . 25 . . .SI 25 . 25 . ..14 75 . . . . ..17 .. . 50 . ..15 50 . 50 . ..34 50 . .. . . .

. 37

. 34 . *• . . a

tviter qu’il ne se livre 4 quelques ritt le garde, qui vient déposer contre lui.

Le Bras est coodanané 4 25 francs d’amende«t bénéficie toutefois de ta loi de aurai».

- La dame Lamoite, née Braall (Marie), t{ée de 54 an», poursuivie sur la plainte de U dame Doffin, sage-femme à Chambly, pour tterclce Illégal de l’art des accouchements, «st condamnée 4 100 franc» d’amende avec •hrsi» 4 l’ezécuüon. . . .

L» dame Doffin, qui se porte partie civile et léclamè SOO franc» de dommages-iatérât», est âboutée de son intervention.

Lundi duns la soirée, lin drame terrible s’est déroulé dans la commune de Précy- sur-Oise. ,

A la su te d’nne discussion futile, qui éclata dans le débit du sieur Bonuier (Emile), âgé de 31 ans, ouvrier briquetier, celui-ci a frappé de plusieurs coups de bouteille â la t<te un de ses camarades, Libessard (Sylvain), également ouvrier briquetier. âgé de 45 ans.

Libessard'tomba sous le choc dans une mare de sang Relevé par les assistants, il fut transporté â son domicile où il expira mardi matin, â six heures, sans avoir re-

'pris connaissance.Le parquet, prévenu, s’est rendu sur les

lieux accompagné du docteur Panthier, médecin légiste, et a procédé aux consta­tation* d’usage.

Le meurtrier a été arrêté et écroué i la prison de Senlis. ., , ,

La victime de ce terrible drame laisse une veuve et six enfants.

^Béihin-Saint-Pierrt. - Au moi» de m»l ûttnicr. is dsme yeuTe Fourniquet, ae Nery, <OQsutsit en eilsnt à ses c U ^ r s , qa'an Ispin

étranglé ; elle découynt «lors im w ret 5^* un coin du clapier. Le npauné Ctfon (î*iâoTe), <Ht DatnWy. âgé de 55 en», âyent eu ^n&aiasaoce du fait, -se présenta c b ezU JeuTe FourniqUet; ayant conyaincu- cetta .[caime qu’il était propriétaire du furet, il se ^ fit remettre contre le • yerstement d’une *0Q3me de 5 francs, prix des dégâts causés.

FAITS LOCAUXA p p e m o n â . — Coup na tarpoh.

Apiés une discussion survenue entre les charretiers Lhomme (Théophile) et Bullpt (Clodomir), de Verneuil, le premier a

. - ........ r - s I poché l ’œil gauche du second. Il sera pour-I SSw pour coups.

C h a m b ly . — Vobtb bn plaiuk. — Une femme âgée d environ 40 â 45 ans, vêtue misérdbliment, a été trouvée morte dans la plaine de Lhambly. Ou attribue son décès à une congestion causée par le froid. I l a été impossible d’étabUr son- identité.

C b a n ti l ly . — Un Gbakd StuuDALiAD rALAis-BODBBOR — Ou uous écrit :

« M. Syveton, député nationaliste de la Seine, autrefois profe.<seur au Lycée de LaoB, est certaiuuujebt un homme d’une grande valeur mie lectuelie et un vrai pa­ir iote ; mats avant tout méridional, il n’est pas tou ours, comme disaient les anciens, t Compos sui > (maître de soi) ; il s’em­balle facilement et perd alors le calme et le juste discernemedit des choses.

t Dernièrement, sou» l’empire d’une indignation qui se comprend, mais qu’on ne peut pas ne pas regretter, il s’est préci­pité sur le général André et l’a souffleté jarceque celui-ci avait osé affirmer du laut de la tribune qu’il ignorait qu’il y eût des délateurs daiis 1 armée et que l'avancement des officier» dépendit des renseignements fournis au ministre par le secrétaire du Grand Orient, le frère Vade- card. On vit ce jonr-lâ des députés anti­ministériels, pour montrer clairement qu’ils d^pprouvaiont cet acte de violence et le scandale auquel il avait donné lieu, voler pour le gouvernement- et lui assurer une majorité.

c Peut-être est-ce nâce à cet incident que nous avons l’ineffable bonheur de pos­séder ce ministère, cher aux radicaux-so­cialistes et aux francs-macons. Pour ce fait M. Syveton, qui, salon moi, a en tort, sera traduit en police correctionnelle et proba-1.1..^.-.^* i»A>»AamnA ’h /tMai/fnA« mAÎa Ha r4i>i_son ; ses ennemis s’en réjeuissent, et M. Combes, dont le fameux bloc qui le sou­tient se désagrège un peu chaque jour, sera débarrassé, pendant un certain temps, d’un adversaire redoutable et gênant.

< Enfin, il faut reconnaître que ces dé­bats orageux, ces scènes de pugilat, incon­nus autrefois au Palais-Bourbon, font peu d honneur aux représentants d’un grand pays, et que, tout en donnant une bien triste idée des imœurs politiques de notre époque, sont l’arrêt de mort du parlemen­tarisme en France. ' A. R.

CAimsi na Mabugb. — Nous appre­nons le prochain mariage de M®* Steam (Edith), sœur du jockey George Stearn, avec M. Taylor (Henry), maréchal-ferrant â Chantilly. ’’

Nous adressons tous nos meilleurs vœux aux futurs époux et nos complimenis â leurs parent».

— Abkbsiaiion. — Le 10 novembre, les gendarmes de Chantilly, agissant en vertu d’nne contrainte par corps, ont pro­cédé â l’arrestation de Pinçon (Ernest), condamné pour braconnage. Celui-ci a été transféré â la maison d’arrét de Senlis pour y subir, la peine prononcée contre, lui par le Tribunal.

— Ceibn iBODVié. — Un chien de forte taille, blanc avec taches jaunes et sans collier, a été trouvé, jeudi (fermer, dans la cour de la maison de M. de Soukozaunette, par M. Beesley, premier garfon d’entrai< nement.

Etat civil d» Chantilly du 1" au 15 novembre 1904.

C re ll . — L i -B a l n i .Sa i h i s -Ga s h u - UiiB.— Lebal que les demoiselles erga- nisent pour fêter leur patronne s'àiiqôhçe dés mairitenant ‘.poiir.âlré. réussi. .Uùjù, celles-ci travaillent.avec -activité 4 Faihé- nakement et au décofrde<la eatle.E|Le Gemité'iwnsin’ie dlavissr lesdeaMi-.;selles qui n’auraient pas encoie envoyé adhé4i““ ®i lespelles, par un ôUbli Intolontaire, la itrésoriére n e . serait pas paçsée, de vouloir bien retirer leur carrt aa-plus tôt. ' . . . . .

Elles n'auront pour cela qù’â S’adrés^r., à code dernière, ou à d ^ n t , A l!iipe..qes demoiselles faisant parti.e .du Comité,d or-, ganisation.

— ACCIDENT DE TR4TAii.,r-jUn acciden( est arrivé â un ouvrier couvreur* M,, Mer-, lette, au service de M. FerroiUe, ;entrepra-r nënr. - ' . , v

Cet ouvrier était su r le toit-de la-bou­cherie Oberlé, rué de là Répub1iqUe;.qiiand 1 tomb^jtjK' la cliaasséfiL On.'s’empressa

autour de lu i et on le conduisit dans la pharmacie la pluj proclifi, où on luvpi)odi- gua des soins empressés.

Espérons que cet accident n’aura aucune suite néfaste pour ce ira . aiUeur. .'

— A l ’i n s t à u DES AuTôHOBiiÊs. — Sa­medi soir, un sieur Raguet, jardinier, à Verneah étant ivre, conduisait nùe to i-' tare au triple galop rue de la République ;il renversa une-dame Goret, • ^ i ’ ent le-poignet foulé, et ua oityrier maçon, le simir Cerdat (ZépWr), quifat plu» atteint (ILèul .plusieurs côtes enfoncées). Comme le Ùeur.Raguet n’arrêtait même pas iPOttf loftor secours aux pprsOnite» qu’il- avait ilôssées, un passant M. 'Delânoy, çoürui après lui,- le rattrapa et lè remit aux mains desagents

— U n e v i e i l l e H i s t o i r e . — Le sieur Nortier (Adolphe-GeOrges), 3Ï ans, méca­nicien, a été arrêté, samedi matin, en vertu d’un mandat d’arrét de vieille date. Nortier avait, eu effet, participé à un vol commis au préjudice de M. Üucbesne, â Vaux-Creil, il y a environ neuf moU. Son coihplice,:(k8roy, avait été arrêté, jugé et condamné 4 cette épeqùO.

P e t it e s N oüVe l l e s . — M. Galand,ayant laissé son matériel de marché 'place. Carnet jusqu’à sept heures du sou* sans l’éclairer, a été l ’objet d’nne contravention samedi dernier. De plus, ayant pasrt sur la place Carnet après Fheure réglemen­taire pour venir chercher .son matériel, unsecond procès-verbal lui ftttffressé.

— Un sieur Pecquery (Jules), ÏS ans, foigeron, étant ivre, arrachait (les choux dimanche dernier, dans. le jardin de M, üelpy- La demoiselle Goût l’ayant aperçu, il la firappa ainsi que la dame Galtie, sa sœur, accourue au bniit. Pecquery sera loarsuivi pour maraudage, ivresse et vio- énces légères. .

— Le sieur Tonzet refusant de solder son dû à la taverne Perrin, le cafetier lui réclama. Tonzet, mécontent, cassa un car­reau et fut an été.

— Hennel (Alphonse), S7 ans, cocher aux Hetites-Voitures, surprû frappant,vio­lemment son cheval, s’est vu dresser con­travention lundi dernier.

JVaJsaanees. —.13 : Brown FIora-LoeÜtU.Steia. — i* : 'FaD Trimpont Marie-Roltcrt,

ajoDT» — 3 : Beartevent (Jecrges-Cliarle», marié, 50 an». — 4 : Douvrin A]phon»e-Gn». teve, 3 moi». — 4 : Donty Chariotte-Ann, venv» Edwards »t t»ot» Gibson, 53 an».

PuWieofion» de JtfarfM ». - m : Audioii Charles, cocher, dondcfliâ 4 Chintulv, et Jacques Marie-Emilienne, Uvrause, domfaliée â ReiniSe"

13 : Tavlor Ernest-Hanry. maréchal-ferrant, et Stearn Edith-Annie, »an» profession, ton» deàz domicilié» 4 ChantUty.

Mariage*. — 8 : Bonnefoy Antoine, coif­feur, demeurant 4 Pari», lô, rue Cauchois; at Daversin Maria-Ciémantine, domestique, do­miciliée 4 Chantilly.

C o y e ..— NdCRPLQGiB.:— Qn annonce la mort, 4 l’âge de quatre:vingt-huit ans, de U** T.escnyer de savighiM, héé''Cartiér.

I l ne sera pat envoyé de léfires de faire part.

rencontre toujours) «’en est emparé et antapris une fuite en pédalant A'tonte allure, ce n’Mt quet Min:ide tempe ^Hrés que le propHéùire de la bicyclette s’est aporçii du vol, ht il n’a en pour tonte con­solation que d ’aller déposer une .'plainte ù la géndannerie.’

llIo i|ta t* iipe> — Av is T e V a^ede Uonudaire informe les,'réserviste* et territoriaut qui se sont fait inscrire»; qise l’inqeTi'nHô leur sera; payée le •vendredi 18 -. ouréut, à partir'do-neuf heurts dU;ma“ tin. Il devront être munis de leur livret -mililaire. - - . ! ^

C r é p y e n - 'V a lo i# . — G ro u -R o u g e DE F r a n c e — Comité-de Cripy. — Une Grande Matinée-Concert, au profit des blessés rnssss de la guerre d Extrême- Orient, aura tieU, dans la salle du 'Vieux Château, le diman he s7 novembre 1904, â S h i/s , son programme assure un ma­gnifique succès.

F e ig n e u x . — Obsùoues. — Lundi dernier, ont eu lieu, en 1 église de Fei- gneux, les obsèques -le M. Armand-Achille Fort, fils de d et M“* Fort, décédé ven­dredi dans sa S3‘ année.

Nuu» adressons â sa famille nos sincères condoléances.

G ilo c o u r t . — Co n t r a in t e par Co r p s . — Jeudi 40 novembre, Griguen (Eugène), do Gilocourt, allait être l’objet d’uiie con­trainte par corps au sujet d’une amende qix’il devait; se voyant pris, il consentit â verser on acompte et fut, en conséquence, remis en liberté.

G u u v i e u x . — Acc id e n t d e t r a v a il . — Samedi dernier, â neuf heures du ma­tin, le sieur Barré (Charles), 3S ans, ma rié et père d’un enfant, ouvrier couvreur chez M. Jumel (Prudent), a Gouvièux, de­meurant â Vineuil, était occupe a aider des ouvriers â relever un grand réservoir en tôle pour le placer sur une maçonnerie, dans la cour de M.-Boussard (Nicolas), propriêtaireau hameau des Carrières, com­mune de Gouvièux, lorsque, par suite d'une glissade des pieds, il est tombé à terre, sur le dos, de sa hauteur, et s’e»t fait i trois doigts de chaque main des contusions par déchirements qui entraîneront une in­capacité de travaii de 15 jours, sauf com­plications, d’après M. le docteur de Lacroix de Lavalette, de Chantilly.

— Ar r e st a t io n . — En vertu d’une con­trainte par corps, les gendarmes de Chan­tilly ont procédé à l’arrestation du sieur Leporr, condanmé pour braconnage. Il a été écroué à lit pnson de Senlis pour y accomplir sa peine.

— Conseil MUNICIPAL — le Consèil municipal se léunira dimanche procbain SO courant, â huit heures et demie d i ma­tin, pour la session de novembre-4904

Etat civil du mois d’octobre.NaieeanCee. — 2 octobre : Bemaadin R a j -

mond-Fèliz-Léopold. — 27 ; M«rch» Emile.Publications de mariagte. — 24: Entre M.

FenyPeul, menoieier, dèm eannt 4 Le Chen»- eée-Gou-rieuz, e t mademobelle Collier Mer- gaente-Cl*ire,manouTrière, domiciliéeASiiat- L.eu-d'Esserent (Oise), mineure.

2-9: Entre M. Caquet Georges-Eugéne, im­primeur sur étoffe», m neur, et Laure-Léon- ^esTaoU é, femme de chambr», mqjeure, de- nxeuraot 4 Gouvièux.

2-9 : Entre M. Clanw Alphonse, cocher, majeur, demeurant :4 Lamorlaye, e t demoi­selle Mainil Louiae-'Joséphine, cuisinière, ma­jeure, demeurant 4 (souvieuz.

9-lfi: Entre -M. Louis-Jean Toussaint, ma- Con,-xnej.euij e t demqisélle, Martin Jeanne- Clémehce, sans profession, mineure, demeu- rant’4 Gouvièux, quarfier de» Aigle».

Mariage*. —15: M. Caquet GeorgesEugène, 2fi ans 1/2. imprimeur sur étoffe», e t made- m o is^è TaultéLéOntine-Laure,25ans, fanune da chambre, domiciUée 4 Gouvièux.

22 : m : Clauw Alphonse, cocher, 29 an», de­meurant 4 Lamorfsve, e t demoisene MainF Louise-Joséphine, 90 an», ' cuisinière, domi- ciüée 4 La Chaussée-lionviéuz.

29: M. Louis-Jean Toiisaalnt, 30 an», ma­çon, e t demoiselle Martin -Jeanne-Clémence, • an», sans profesaion, domicilié» 4 Gouvièux, quartier de» Aigle». ' -

Oiet*. — 15 ; M. Poillenx Jean-Baptiate, 7fi ans 8 moi», éponse de Naguet Annette,Êropriéteire. rue de C hapri^ , 4 Gouvièux. a .

t: M Eèightley Thomâ», 76 an» 9 moiA.ex- iockèv, dé3dé 4 l’Hôpital de» Jockey»,.4 Gou. vieux, route Nationale. 21 : M. MiÂiea Ju- Uen-Théophile, 63 an» 11 moi», veuf, maçon, demeurant 4 Gouvièux.

— roüpS iüE CoDTEÀo. — Un gÿir^n) boulaugor, âgé dé 49 ans nommé Dujon (Marins), venait se. eonstitner prisonnier dimanche soir â la-gendarmerie»; déclarant avoir frappé sa toisitresse, Camille Paulin, de trois coûps dé çonl^aù la poitrine. 4 la' suite d’nne disctwsioh ' shriréûue chez nn ami de-Duj’on, M. Dhont. 'demeurant rue de Condé li se réftisa â'éntferdinsù’antres déteil», disaol qn’it ne parlerait plus que’ devant le jute d'instniction.

L’enquête révéla que CamiHePanliiti qta. est âgée d’une trentaine d’années, et est domestique à Creil, n’avaif, par un. mira­culeux hasard pas ét i blesrte î- elle n avait eu que son corsage déchh'é. Elle s’était enfuie aussitôt la s’ène terininée. - .

Dujon a été conduit â Senlis le lende- mmn matin.

U sim vrlaÿe. — Bigtcliiies dispa­rue. -L Dn vol d* bieyclette'a été comBûs, dimanche dernier, vers midi, an préjudicesffAsftff'.inhin timaivAn dfllMAnrAIlt à ‘nhftll-

araii'Iiussé’sa méêiüne 4 la jporte dêTla' maison Deeàindliéi PfiAiilht de son ah* m c e . tu audadoitt^fllon (eemim en en

. V. p.- Du F e u et de la LtmÙBE, s- — Où nvns écrit :

< S’il est des gares eenfortablement c h a u ffé e s et brilltmoment éclairées, il serait difficile d’y placer celle de-Montatiire. On a le double avantage de ne pas y vmr le (OT et d’y geler tout le temps N is oecS^- tions et nos bssoins nent obligeant a y venir assez fréquemment, ! non* souffrons de cet étal de cbnsèz. Nous en rendions responsablM les omployrt, mtis non» croyons savdir que ceux-ci sont logés ù la même enseigne que nens. . ,

c Ne pouTriez-vous être notre inter- prêtre auprès de H. QaidedroU, s. v. p. T

< Un groupe dhodntànis de Montataire ».

— N)us avons, de plits, reçu une lettre conçue dans les mêmes termes, signée : Un voyageur tranti. Quant i nous, per- sennatiemant, il nous a .été donné de cons­tater le bien fondé de ces réclamations, tont au moins quant au chauffage.

N eiillly « ex i* T h elIe . — AnaiSTA-t TioNS. — Les sieurs Depothuis (Henri), de Neuilly-en-Thelle ; DeaubonUe (Théo­dore) et vassy (Unis), d’Ercnis, et Du- bray (Ernest), de Cires-les-tiello, ont été arrêtés et transférés à Senlis pour con­trainte par corps.

Etat civil de Neuilly en TheUe du mois d’octobre 1904.

naissance*. — 10 octobre : Brogoard MarceL g ^ o n légitime. —,19: .Goberyffie Aiphonse-B S S Ë - a ~ Ê S c q ^ i ï Ré-land-Eugène, garçon légitime.

Décès. — 3 : Dubiy 'Virginie, èpeuse Causé, . J ans. — 10: Lémaire Fâlide-Alexandiine, épouse -Patail, 71 an».

Publieatians de mariages. — 2 : Bièron Gts- ton-Loui»’LAon, et Leplat Marguerite-Mane- Eléonore»

2: Boulet Vlctor-Eugène-Aibert, e t Bour­geois Jutie-Antpinette.

Mariages — 13: Bièron-Leplat.15 : Boulet-tRour^oi».

N o g e n t- le s - 'V ie rg e s ,Etat civil de Nogent-les Vierges du mois

düoetobre 19Q4.Baissances. — 3 : Sandhomm» Thèrèse-Pol-

mTre-Amélie. — 5 : Dherissard Fr»nce-So- lauge. — 9 : Cottereau Marie-Loui»e-Thè- rès*. — 17 : Roussillon Lucienne-Marie-Jeanne. — 18 : DesUnde» Benri-LouiA — 28 : Bignoo Marcelle-Maria-Loce.

Dèeis. — 4 : Devanneaux Marlne-Amâlie, 1 au. — 13 : Hérisson Sulplce-Thèùphane, r t an». — 17 : Olleiy Reine, femme Hèrouart, 32 an»;

Pablicatiens de mariages. — 2-9 : M. Leroy Edouard, cloutier, et Mlle Delahajr Luae, msnouvrière, démentent tous deux 4 Nogent.

23-30 : M. FèareeüEdmond-Lèon, palefrenier, demeurant 4 Chantilly, et Mlle Remy Lucie- Jèanaè-BIaache, cuismière, demeurant 4 No­gent-les-Vierge A , . , ,

23 30 : M. Grison Ernest-Louis, agent d’af­faire», dsmeurant 4 Nogent, et Mlle Domont Marie-Lèonie, »»n» profession, demsurant 4 Soutraine-Cauffry. i

Mariages. — 13 : M. Meunier Albert, carrier, demeurant' à Verneuil, et Mlle Hèrouart Al- bertine-Adrienne, ménagère.

15 : M. Pingunt Louis-Charles, ajusteur yau Nord, et Mlle Dacbet Elisabeth, dsmeurant tou» deux è Nogeflt,

15 : M. Foucault Emüe-Alexandre, ouvrier d’usine, et Mlle iteborggraeve SvdoniA jour­nalière, demeurant tou» deux 4 Nogent.

T7: M. Perrin Henri, inécanicieh au Nord, et Mlle'Cheval Blanche, «ans profession, de- mèurant tous deux 4 Nogent. ,

29 : M. SoissonsGeorges-Eugène, menuisier, et Mlle TVatripon Julia-Annè-Marguerite, couturière, demeurant tous deux 4 N<>i»hL

P o n t-S a ix è te - llIa x e is c e . — Con­sul MUNICIPAL. — L’abondance des ma­tières noos oblige i remettre â notre pro­chain nofflère le cémpte-rendn dn Conseil municipal de Pont.

— En Cours d’As s is s s . — L’affaire' Alexis Derongement, mahouvrier 4 Ponte Sainte-Maxence» qui a poossé. sa, femme dans l’Oise, où elle a tronvé la mort, sera inscrite an rêledes assises de la prochaine session de décembre qni commence le 19, c’est-à-dire dSns nn mois environ.. .

C’est probablement lè 13 on le 4 4 dé­cembre que cette adfaire sera jugée.

Deroogemont sera transféré dmoMn ou cprès-demain de laprisott-de Senlis ù'ia maison d’arrêt de Beauvais.

R a r a y . — BnACONNira. Dimanche dernier, à six heures, du soiP. l l . Môreau, sarile-^rticuiiêr ds H. le comte de La Bé- doyére, faisant sa fournée ordinaire, aper­çut â quelque distance du bois, an tien dit le Gros-Faux,'Viéviile ^ « n n ) , âgé de 46 ans, originaire de SMy/(AisBBj,:qui avait l ’air de chercbèr quelque Chose. Lui ùyant qamanaê ce qu'il aisait lù, il n’obtint que des réponses embarrassées, ce que voyant, le garde s’approcha et, l’ayant fouillé, trouva un certain nombre dé fiches et de colleta tout prête ù poser. ,

Conclusion : procès-verbal en bonne et due forme.

M.i'fbioté*NacntâUlIv-Saint-G .4 qa ’ gendarmeriti.Abé «miré nn.jtiwfrBnfrtItqd

ân e ,; se swait t i n é w ''

Lajléèie vimva B b r^ , t e court, ayant voiâa> aller chei Mc épHit

:Biîqttet' (B iu n ten ^ . #5 ChapcUe-Saint-P ierrè, jrémmegî Sa pmte: fil!», qua eea " dètroièrs Jiëbergaaicnt pour luf pâîpatM ; de vivre avec son concnbia, «a éMutampte ’par eux â coups de fourche et blenée w btes ; elle ffÿœ^lffiffterff W gteteteeri» - de-Neuilly.

D is c ip l e D E .Bâceaus..— Lundi ,dela semaine deriffère, un chaivntier de U. Tirlet,.Marbaix: (Gustave), était aUé conduire « lombefean de betteravM 4 lasu crer ie d u T heil„C om m o il av a it b u p l iuque de raison et qù’il avait encore soiLu fut obligé de se désaltérer 4 la eantites de sorte qu ayant perdu la nétiiùi des choses, il ne s’aperçut qu’en r e ù t i ^ chez soit pa­tron (lu’il avait pmdu son a tte lm . Pen -

hémve mu :pâw»nt’bîénàvisne* avaim tnB hérr^ i^M ù qn’uMtiniroplus~'tard M- »n r b ^ i r il B’eil arrivé aeeue**’ ® " '

*-■ srmr. --a—• isun accident.

'V é p b e tie . -rr-. S iN O P U p t DE COMPTE.'-I,- Une plainte.a été dêpimée a lageiidarmeriéj le 40 novembre, parw e. propriAiâfrè’de Verberieii contre an de^eaa locataires, qui, pour règlement de compte, lui avait donné un coup de poing.

:. -.7

.’ .1

— Vol Lé 8 n o ’ëipbre, un propriéa taire deiVri’beriej qui'étàif allé visiter son clapier, a constaté qu’on lui. avait ;seas-| tru t unlaidn 'quqi estime 4 3 frana Une plainte à jé» di^tçsée 4 la gendarmerie.

L’auteur'de ce vol ne s'est'pas fait cOtr-naître.

— iNDducATESSE. — La rtmajoe nièrej UB individu assez, int*., peu.jicrupalBux, -las prôb'àble vie conjugale, a.Vendu le meilbmc-jlu i bilier et a disparu avec l ’argent ffe. la roiii- muDauté,-né laiésanipanrfoUtesressonreès 4 la délaissée que celle de médndrsnries vicissitndes de la vie. Pour.nous, nous terminerons pair ce-mot-’de' qa ftWe-:' « En idutes choses, il faut considérer la fis» .

— Ar r e s t a t io n . — Descamps (Alfted), âgé de 34 ans, vagabond, sans .doiUiâia fixe, s’est rendu le ' 3 novembre 4 la gen­darmerie da Verberie pour sa faire àrrétér; les moti's in'.’oqués étantsuIBsants lesgea- darmes lui ont donné satisfaction, et il a été conduit â Senlis, 4 l’Hôtel dés H aric^

..'.T

X s B Ç lO f f V S d e V l O U i O î a f A4. U U Ê V F , ProfesseuT diriêmé, :

Premier p ü x de Ceneenatairei5, place de l’Hôpital, 4 CHANTILLY.

Le Gérant ; En GaffeoiEl.

Imprimerie AilministrativeetCoimnereialê, 9-44, place dé l’Hôtel de Villé, Sentis.

t-Aa#eaeea éadIeiaiNaAbx. 1*;

Etudes ds m* L m la É8CAVT,' avouè-sgréâ 4 Seuils,

4 et de ■* DELAHAVSSE, hnissiar 4 NeuiUy-es-ThellA

’ C B S a - 'C P Q B taws enehirei pttbîiquesi

Par suite (i*ime ordonuanee rendue M. Dofourmentel, juge-eominissaird de la faillite du sieur Oscar LBeoaaxi

de Tiss-^ûuier, mwcier 4t gemuier â Ciret-les-MeUOp

■ I T f R l E LH S R C H A n i D l - , a 8

de CoBimeiee da Tins, Bpider,. Xateler d: Samrlar,

H Æ E I U B I - i l a l SEffets et Objets Mobiliers

le teut dépendant de la faillie dudit fleur Xjbsobu.

La Tente aura lien par le suniitére deM« DBL1.H0U8SB,

liuissier à Néuilly-en-Tltelle, commis à cet eifett

riyivii le fonds de commeree de M. LsSOBBBSy

A C1RES-LE3-MELL0 liBS DlmaBolie SVÿ Laftdl S8

e t l a r d l 8 9 Meveeaàre 1904»

à une h^ure de relevée*

Lei prindpaai Objets â Te&dré coBiisteiit difls i

Comptoir, billard,'.matériel de mai« rihfiffd de Tüi8| Tins en fûts, en bon- teillet, bière, Lqueurs, madère, nropé, absintnei Termoath, Pernod, Saint* Rapbaèl, tables, c ^ s , chaises, carafes. Terras, utras, mesum, brulmr àcaf6,ete*

Bretelles, ceinttirei, lacets, ehapean iy fils, aigniUes, Imnes diTersra, conetté rubans, dentelles, cravates, bas, sarqn* nettes, jarretières, piqneri, crajon^- encres, etc.

chocolats, sucre, ^bonbons* huile, café, ris, vermicelle, tapioca Uh cuits» rsmidon, fécule, brosses, balaili bow ons, sabots, Terres â. lampes» elous, pitons fer, ,TnisseUe, plats, siettes, verres, lampes, poues, cniiH nières, fourneaux, bimst, açmoircÿ e ^

Forge, étaux, s o ^ t s , marteaux, lim ^ npe& enuoii^,.fers, mMJuaa 4 percer, tisonniier, etc*

AUX GOliDmOliS 0BDDUS1B8

Le Dimaéiehe on vendra le Màteriél et let MarchM%dises de MoreheûiA ds y««is»

Le Lundi 28, le Matériel et let Afdr* chandite* éCEpieerie,

Et U M ardi419, lie solde s d a f i l ^ chandises dEpiierie et MlierSs . f *

S’adresser pour les renseigpMsnei .'S , A M« Louis SSCAVY, avoué-agréâ i

Sentis, syndic de la faillite L x s o ^ ; 'Et â M* DaiAHOussB, -huimeir â

Nenill;^’‘Thelle.Pour insertion t .

S^né,: Looia

A&t. y* Ms.Suivant' convention^ M»- et Madame

LAMBEBTf épiciers à ChantillT, lA: de Paris, ont vendu â Mesdemoisellea Bibbxn et VxDiifBztT, négociantea A ChântiUy, le fonds de eommoiBe. de ynqp Wsèfxn' épicier, qu'il* eapVwtawiit audit lieu.

L’entrée en joUtssanoe a en Beu ie ■ mil neuf cent ^^atra.qujnae novwuuz'm **»«« »*w» w.— ---Domicile est tiu pour les o)®o<litioi»

en l’Etude de M* Méndle, hm»#» 4 Ssnlis, 11, rué Bellon. 1314

ToirJa.eteiteJ»s - js^ieioires page 4.

L’f t E l l B ^COmiBCttt.

PARIS,

Jounal iq^édals

Donne régalièrcônent diaim«wte Cwwh»»—

PlaeemadsivontagesixdetConanandites,

te CJffriÜUMttlS__

ATsntde tendre ond’aew hn eoBM

— te i# te t ié te * * i.. uV

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Page 4: Cotis&Üdesliini^rêSi.ps- «J—rr- .- - V-'bmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_11_17_MRC.pdfSttM t, fé N aeen^ i994 Nous ravions prévu, ç^Æ^dver- sair«s davaiant eac^ee^Fim

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S Uüts'ÿeèrds. .; i.

3 50 à ASO 4 . . 7 508 .. 11 .. * ;. 3 „.5 0 ! . .

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i . • * 10*8ln O*.l<($0 s ia ^

I t i C B S

• ■• • *_■» •,- 100 134, UnoTsmlÉu.

0* •otol'hMlçnn : H4, i'’«4,1131; JF, 16 94;

'•H"* *'?••• “ > W i" wS^MUt «W SUOC. " •. Oa«ott 17nâ«itni:-U «,ds 16 . . à 1750.JU-lîS ’ r r i- 'r O***» 3* . . . AfolB»,l-^qi4,3 ..; »?74KTmm, .. ...3is*fll«, .. ... P u s iu i di tw n ,. 7 ...

Pito, b 1» ÿ j , 81 à : **, 37 a 1/2. Bw»,l»,kffiï>, in «14, * 90; *•, * 50. 0«fs.J«

MBt, 14... 5 n .,.'.BuHm u . .— 18, ssdMS aaenlUsatu 6« >S0 à

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SlllBOIS t k la^üdidko'de U. Jùliis iP6xi&

ea l’Etude, d O ; J ^ . ;.... ~ '~^v r Nodfloadra a 4_Ù 5 ^ r g o u w ^ e - ,

PsoeamoTâè'lft RépŒlI^ütf prtrMriïi-^

iett drdài teguirodudtt qS n n ijsW literiagt<iuq oitebnyna u g l e ^ q ' ' ' ^ £ > 3 , « m s t ^ UgrolU ^tt Is4»5ftiUii60"BsuvteeopU wUat^niUo, slgi»«0-04mirw

D’un acte ,««'W 5;H '

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lùD^LZroMÎe-CoBni «ütf ptofessiro, demevant à Gtouri«D^;.W??e .oe^..^ F»oçw*-Jo*«ph L w erq de la nue-propnétéde: , __

!• Kx-»ept ares .^neuf^centxare» de tazreo sia tetroic de- Q o o ^ e ^ j^ d &t U Salle Thomaa» teîxant d t e oôté Potr*; deroi, d’autre ofirté «t dea à m l^ t» ; K'Texier.

2* Vingt et un ares dnquante un MStiares de terre, tonoir dj» lieu dit' Au-Deesua-^de ^ Ç iw w ^ ’- tenant dea deux côt^r^M.' Texier, dan- 1)oat la Remiae Pointue, et d’autre oout, PAllée de Creilo\

8* Trente et un arê* sin^ cenjiarea de terre, mkpa . *«B^* i ? Champ PamiHeux, tenant d un coté M. O e o r^ Delleau. d’autrd côté Gérard, at d'un bout-la Montagne.

E t ce moyennant, ontiÿ lea:clua|fes,'le prix princroal de detia# osMîte ’ jiwÉr# «ant «eiee frat

ATecdédaratio& .A i^nnear le.eureur de la Répuldiqüçj;,.

1* Que ladite nqtiflcaW lui'éitait faite conformément a Parttd e tûâé ;dn.

t;j#aaéatian |# « M |i iü Ï M M iiàfüpli>»*S04»

. àwrM ; ■MaSétada^ictipar U ministtrrda ‘• ' ------------.aetaiMjIà'lfuMntt-ia-

cominia cet ttDfet.

-i* o d « W j ib ^ 1» tm uittitm m u:/. i«^A;k*'’‘sïnraB-BÊüVB, oToui i

SAIU,'‘ÿtersdivoBt Ik ,vq)^ ;2> A H< kR^ÜKD/ kTOÙd k SoUBv

,préefl#=*tl»'t«U; , .-K ,À î^lP .,.M j^B L m , , n o t o ,k

dépOMtsIre ducaMcff dci chargée i H*

pÿ^d^yaloiii"iiï tr ï i^ ip * !

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V en te a o x o n o h èree puW iqoeePar'w ütp du d^^ art dé M. GAUME,

tn fOTEÜll « CAZ'■ y iW iie^ ie ly 8 eii.

vRcm pe « y e ièm e é e n d t l le nD Y N ltfO .

TAB1.EAC DI»TBieil1r£Vli:

!lffeub|es d iv e r sB e a u x .f4te Q p a v a p e s , H a rn a is

légales 'qu’il avisoi^ -ot icolui -pa^ , les immeubles vendus pMiêraiont et de­meureraient francs.et. quitteTaô foUHs dettes et charges hypodiécaiïes'de cette nature non inscrite

2* Que les précédente propriétaires,outre les Tendeurs, étaient :

Communauté d’entro E^uard-Louîs ThomassiD et dame l.éohtîhe-Vicloire Colin, son épouse ; • ■ ;

1". — LomaGSiéâore Chrédeik et dame Marguerite-Louise-RosaliA Spèce, son épouse ; -

Article 2. — Mai»<Jéciie*!Aure^Lo-, rette Allmer,- épouse de HiiairerRené lioffait ; . ■ • ; ■ -i "

Article 3. — Pài^r P K h t^ 'Jnlia-Noémie Bordel ; *

Frédéric Bordel Rosalie MonnUelév épouse de Frédéric

Bordel père;Pour autre, parîiô Geûéyî^e*Rbse-.

V irg^e VariÛpn^^^j^ dé F râ ti^ ^ Edouard Thomi&s'rih ; '

Jeau-F ranç^V ar^n et OeaerièTe- jnlienne Foyén, son épouse;,

3* Et que touS;oettx.d&chef desquels pourrait être - pra ' injcriptlon .d’hyr Mthèque légale n'étant pas connus du requérant, il fer» pubÜj».,^,te imtm- caûon, rtfkng un jo^nal d’aMonces jum- maires, confonneniiBnÛ la .loi.

.* Pour inaeriidn ___X306 S ig^ : A. 8AINTB-BBÜVE.

Etude doayoné à 9èl&i.'^

4 .

pîr^tÿtiÀ ia0U p lw àfTH^enchérisuur

DTJNE

PROPRIÉTÉE T D ^ S I N t l f C E S

Situio k GlÛÉtt.. zue. de Montxtaire, n".78et80

e n DN se u l lo t

L’adjudication qù» lieu le ■AKDI X f ‘ À y 'in S R E laO A

à vne Tuure dé nlevie, an l’audience des criées do Tribnkal civil

de Senlis, séant te Palais de3nstica de ladite ville, rué de la RépuUiqus.

S’adresser jeter les rtnttignemtnta!• A M* SAlNTE-BEUy^ avoué

Senlis, poursuivant "fr'venté - 2* A M* SAVABY, avoué k Senlis,

présent k la vente';3* A lf‘ DESABIB, notaire k Creil 4* Et au ' greffe du Tribunal civil àt

Senlis, où le cahier des charges est déposé.

. Etude de 1 • SAlMTB-aEtJVE, avouéA BenliSi -

V E N T Ea u x e n t ^ â m 7 ^ 4 1 ^

s n . convxxsnm'^'-satsnf îtiiasriuiBX

{e a te w s i Mise jarcSn dé 600teM>ai environ, éeasie :# -laaiéé,: k iSenUs,, routé do Com^kgne, u* 12 ter. Ska, 63ik ,t CklteUrq. - .

2* P n p riM é A Séalisy-rua-dailk Kif- ’ luhSqnp, nsid, atvee navillqn mp do lu ' rkan«n,j*>4itt,Xl(n m. o. E« 4 Cklo- dfléO;

S* IteleMt, rué de lk’*i!onnellerie, n* 6, éteria, réiaise, jaidix,'leku.. J t D m ù 5ltt>iuAÀ< ruo.'Sa^ïxnk-b é ^ , 'i i 'iÉ S iïB K ^ id D b -

5* •U M 'A rA ti k-Sealis,riè'dS C ïtea ire t, »*6.

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Étude de M* TH^ÔUlN, notaire' à, ^y-en-Multien (Oise).

Adjudication', le Dmian<die 27 No­vembre 1904, k une heure de relevée, k Acy-en-Multien, en l’Etude de M* Thi- rouin; et par le mmistère dudit M* Thi- rottin, notaire, de 4 8 beunz OreiM et la Céapo .de Bolu tô llils k faire sur 4 hectares 05 -ares 36 centiares, si­tués à Rosoy-en^Multien, en différents lieux dits.

Etude de M* Edvoni) RICHARD, notaire k Pont^Sainte-Maxenee.

TerreBi d'une'contenance totale de 71 hectaires 90 ares 06 centiares, situées sur Itt 'territoires de Pon^oint, Pont- Sain®e-Mavencé et l'Evêché (conunune de Sarron), appartenant! k M. le prince de-Broglie et a ses neveux, à louer par adjudication, pour entrer en jouissance le i l Novembrà 19(3, en la salle de la Mairie de Pont-Sunte-Maxence, et par 7e ministère de M* Richard. notaire audit* Béa, le Veni^di 25 Novembm 1901,-heure de midi.' '

Etude de M« Rsiini PETIT,, notatre k Baron (Oise).

A vendre k l’amiable. 6 Malonas, s i^ e s k Lévignen (Oise), 6 k. de Betz, 2 ^ de Senlis, 4k. de la gare deOépy, 2 k. de la gare de Bolssy-Lévignen. — S'adresser k M' René .Petite notaire k Baron.

Etude de M* DELAUNAY, notaire à Senlis.

A vendre par adjudication volon- tairef le Dimanche 20 Novembre 1904, k deux heures, à Orry-la-Ville, en laualle d’Ecolé, par le ministère de M* Delau- nay; notaire, 9 h eatares 3 0 a re s 4 9 seM ilares d s T erre e t BoH, en dix pièces, sises au terroir d’Orry- la-Tille.

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Sous cette rubrique^ nons insérous les demandes et ofi&es d’emploi dont le texte ne déesse pas cinq lignes.

Une annonce devant passer une seule fois coûte 1 fr. 50.

Pour les annonces devant paraître successivement dans plusieurs numéros du j ournal, le prix de chaque insertion est de 1 frime*

Le montant de ces annonces doit ac compagner la commande.

im ^ On demande des Ameuta. pour Assurances contré la Grêle. —6 Portés remises. Ecrire au Directeur, 50, rue de CBgnancourt, k Paris. 1276

Héumge demande place, le mari comme cocher, valet de chambre, la'femme cuisinière; au besmn le mari — )bcérait seul. —, Bonnes références.

>’adr. au Bureau du^Journal. 1287

On demande uiae .bouue d’en- f4aM'de.20 k 25 ànsj miinié'de très bonnes références.

S’adresser k M. MAGNARD, Manoir des Fontaines, Baron. 1À)0

flV^ Ou deiÉnude.à reprendre ■iBetlS eaoMneree de .Tlne’épi. Â N è, où'une aaninén Bbrie ^ u roliviir ledit commerce.

'8 ’mfr. au BiraU-âu'Journal.^ 1284

On demande n n _ntari valet de chambre et cocl fémme cuisinière. ^

[S’adr. auBUmudu Jônrzial. . 1272

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......

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